8 conseils de patients hypertendus aux autres patients” 1. Organisez le dépistage de votre hypertension artérielle et allez rapidement voir un médecin en cas d’anomalie, même en l’absence de troubles. 2. Faites-vous expliquer les
D’après une étude réalisée à la demande du Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle, 30% des plus de 35 ans sont traités par un médicament antihypertenseur. Mais tous n’adaptent pas forcément leur mode de vie à cette l’occasion de la Journée nationale de lutte contre l’hypertension artérielle ce mardi 18 décembre, le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle lance une nouvelle campagne d’information sur cette maladie. Baptisée Hypertendus suivez le guide ! et relayée sur son site internet, cette campagne entend rappeler aux personnes qui souffrent de cette maladie, l’importance de bien surveiller leur hypertension, afin d'adapter le traitement en cas de besoin.>> A lire aussi Hypertension, repérez vite les premiers signes A l'occasion de cette Journée nationale, une étude a été réalisée par Kantar Health, qui montre que 30 % de la population française âgée de plus de 35 ans est traitée par un médicament antihypertenseur soit 11,4 millions de personnes. Un chiffre auquel les spécialistes pensent qu’il faut rajouter 4 millions de personnes qui souffrent d’hypertension sans le savoir. Chaque année, 120 000 infarctus du myocarde et 130 000 accidents vasculaires cérébraux sont favorisés par l’hypertension artérielle dans notre pays constituant un des premiers motifs de handicap » explique le Dr Bernard Vaïsse, président du CFLHTA, et cardiologue à l’hôpital de la Timone à Marseille. D’où cette nouvelle campagne d’information qui met l’accent sur des conseils pratiques destinés aux personnes hypertendues, pour les aider à contrôler leur pression artérielle.>> A lire aussi Bien gérer son hypertension On ne sait pas encore guérir l’hypertension artérielle. Il n’est actuellement possible que de faire baisser temporairement les chiffres tensionnels grâce à des médicaments antihypertenseurs dont l’action est de courte durée. D’où l’importance de contrôler sa tension régulièrement mais aussi d’adapter son mode de vie à cette pathologie » explique-t-on au Comité français de lutte contre l’hypertension Kantar Health montre également que le contrôle par automesure stagne. Ce constat s’explique par le mauvais usage de l’appareil d’automesure acheté par les hypertendus qui ont besoin de plus amples informations et conseils prodigués par le médecin ou le pharmacien pour apprendre à bien mesurer leur tension régulièrement » affirme le Docteur Bernard Vaïsse. Inscrivez-vous à la Newsletter de Top Santé pour recevoir gratuitement les dernières actualités
\n comité français de lutte contre l hypertension artérielle
Àl'occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l'Hypertension Artérielle (HTA) du 18 décembre 2014, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) souhaite sensibiliser le grand public à deux conséquences vasculaires non négligeables liées à l'hypertension artérielle : l'AVC et les troubles de la mémoire. Le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle CFLHTA, la Société Française d’Hypertension Artérielle SFHTA et la Société Française Neuro-Vasculaire SFNV avec le soutien de la Direction Générale de la Santé DGS unissent leurs forces pour insuffler une nouvelle dynamique à la prise en charge de l’Hypertension Artérielle HTA en France. Leur objectif 70 % des hypertendus contrôlés d’ici 2015 en sensibilisant les professionnels de santé à la nécessité de mieux traiter et de mieux contrôler les hypertendus pour améliorer l’état sanitaire de la population par une diminution des accidents vasculaires cérébraux. Selon l’OMS, l’Hypertension Artérielle HTA est le premier motif de consultation dans le monde ; près de 8 millions de décès annuels lui sont attribuables. 15 à 16 millions de personnes en France sont touchées par cette pathologie et 70 % des hypertendus traités sont âgés de plus de 60 ans. Maladie silencieuse, l’hypertension artérielle a de graves conséquences parmi lesquelles l’accident vasculaire cérébral. Responsable de 40% des accidents vasculaires cérébraux, l’hypertension est le premier facteur modifiable influant sur la mortalité. C’est face à ce constat que les experts de l’hypertension artérielle soutenus par la DGS Direction Générale de la Santé lancent une campagne d’information auprès des professionnels de santé sur la prise en charge pragmatique de l’HTA pour faire du contrôle tensionnel un axe prioritaire pour améliorer l’état sanitaire de la population par une diminution des AVC, de la démence et de l’insuffisance cardiaque. Le contrôle tensionnel en France, qui était parmi les meilleurs d’Europe dans les années 2000, avec 40 % des hypertendus contrôlés, stagne depuis 5 ans et s’établit à 50 % alors qu’il continue de progresser aux Etats-Unis et dans les pays européens voisins. Banalisation de l’HTA, inertie thérapeutique, manque de motivation des patients…, de multiples facteurs expliquent ces résultats. Un livret-guide réalisé par les experts de l’hypertension artérielle et diffusé à près de 60 000 médecins généralistes et spécialistes propose sept conseils identifiés pour apporter aux praticiens une synthèse des moyens thérapeutiques actuels pouvant conduire à améliorer la prévention des AVC. Le livret envoyé à 60 000 professionnels de santé pratiquant en France est téléchargeable et gratuit sur et
Fondéen 1971, le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle (CFLH-TA) est une association régie par la loi de 1901. Ses buts sont de mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public, plus particuliè-rement au corps médical ou au corps phar-maceutique, et d’entreprendre toutes les actions de formation ou d’information
La maladie cœliaque5 mai 2021Hypothyroïdie et prise de poids25 mai 2021 Quand parle-t-on d’hypertension ? L’hypertension artérielle HTA se définit par une pression artérielle élevée en consultation, soit supérieure à 140 et/ou 90 mm Hg que votre médecin pourra exprimer par “14/9”. Si vous disposez d’un tensiomètre à domicile, les seuils sont un peu plus stricts puisque vous êtes alors considérée comme hypertendue à partir de 135 et/ou 85 mm Hg ou “13,5/8,5”. L’HTA est un état pathologique appelé “tueur silencieux” car la maladie reste longtemps complètement asymptomatique. En cas d’HTA sévère, les symptômes sont loin d’être spécifiques maux de tête, somnolence, palpitations, vision trouble, fatigue, vertiges, confusion, sensation de bourdonnement dans les oreilles, difficultés respiratoires, rythme cardiaque irrégulier… quelques signes qui devraient mettre la puce à l’oreille de votre médecin traitant. Prise en charge de l’HTA en France des chiffres de plus en plus alarmants Sur le plan épidémiologique, l’HTA constitue la pathologie cardiovasculaire dont la prévalence est la plus élevée. Les enquêtes FLAHS French League Against Hypertension Survey, menées depuis 2002 par le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle CFLHTA et depuis 2015 en association avec la Fondation de Recherche sur l’HTA FRHTA, fournissent des informations sur la prévalence de l’HTA dans la population adulte de plus de 35 ans. Selon les données de l’enquête FLAHS 2019, la prise en charge de l’HTA en France continue de se détériorer [1]. Selon le protocole d’automesure de la pression artérielle recommandé pour cette étude, 8,7 millions des Français de plus de 35 ans sont hypertendus et parmi eux, 5 millions sont non dépistés ou non traités. Seuls 3,7 millions, soit 42,5 %, reçoivent un traitement antihypertenseur. Avec une proportion estimée d’hypertendus traités et un contrôle de l’HTA qui régressent alors que les prescriptions de médicaments antihypertenseurs grimpent, FLASH 2019 confirme les chiffres inquiétants de la dernière enquête du même nom, réalisée en 2017. Aussi, les données de FLAHS 2019 confirment celles de l’enquête Esteban de 2015 [2], menée en France entre 2014 et 2016 auprès d’adultes de 18 à 74 ans, à savoir que la situation s’est dégradée depuis 2006. Aucune diminution de la prévalence de l’HTA n’a été observée en France, avec toujours un adulte sur trois hypertendu. De plus, aucune amélioration du dépistage et de la prise en charge de l’HTA n’a pu être mise en évidence. Plus inquiétant encore, ils montrent que la situation s’est fortement dégradée chez les femmes. Pour résumer, les gens sont moins bien traités, moins pris en charge et moins contrôlés. Le traitement de l’HTA chez la personne en surcharge pondérale Médicaments Normaliser la tension est le seul moyen de protéger nos artères du vieillissement et de ses complications cardiovasculaires. Sur le plan thérapeutique, la perte de poids et l’augmentation de l’activité physique devraient être au centre de la stratégie de prise en charge. Toutefois, un traitement antihypertenseur est très souvent requis en raison des limites des approches non pharmacologiques. Nous disposons de cinq classes d’antihypertenseurs parmi lesquelles le médecin choisira un traitement initial “sur mesure” en tenant compte des résultats de l’interrogatoire, de l’examen clinique, de la sévérité de l’HTA et des résultats du bilan biologique de son patient. Si un seul traitement ne suffit pas à atteindre l’objectif tensionnel ou qu’il y a des complications, notamment sur le cœur insuffisance coronarienne, angor, insuffisance cardiaque, troubles du rythme, infarctus du myocarde, le cerveau AVC et le rein maladie rénale chronique, il faut passer de la monothérapie à la bithérapie, puis à la trithérapie, etc. En raison des problèmes évoquées précédemment, notamment de la sécrétion massive et chronique d’angiotensine-2 par le tissu adipeux intra-abdominal, il est de plus en plus fréquent pour un médecin de devoir “empiler” les médicaments sans pour autant parvenir à contrôler la pression artérielle. C’est ce qu’on appelle l’escalade thérapeutique. Perte de poids Cliniquement, chaque médecin a vécu des cas individuels où une diminution même modérée du poids corporel s’est accompagnée d’une baisse de la pression artérielle et de la possibilité de réduire la médication. Ainsi, de nombreuses études ont démontré qu’une diminution du poids corporel permettait de prévenir l’HTA ainsi que de réduire voire de normaliser la pression artérielle en cas d’HTA, en particulier lorsque celle-ci est modérée. Une méta-analyse de vingt-cinq études concernant 4874 patients a notamment observé que, pour chaque kilo perdu, la tension artérielle systolique et diastolique diminue d’environ 1 mm Hg [4]. Les résultats d’une étude réalisée sur 10 809 patients ayant complété la phase d’amaigrissement du Programme RNPC ont montré que la perte de poids obtenue grâce au programme permettait aux patients hypertendus de diviser par deux leurs traitements médicamenteux prescrits pour l’HTA [5]. Conclusion Globalement, la perte de poids, une moindre consommation d’aliments riches en sel et la pratique d’une activité physique régulière améliorent sans aucun doute la pression artérielle des patients en surcharge pondérale. Mais combien d’entre eux parviendront à réaliser les changements proposés par leur médecin et pendant combien de temps ? C’est pourquoi, bien que ces approches non pharmacologiques doivent être proposées en première intention, dans la majorité des cas, les médecins préfèreront débuter un traitement antihypertenseur chez les patients en surpoids ou obèses et hypertendus, quitte à ce que ce traitement médicamenteux soit réduit ultérieurement si les mesures hygiéno-diététiques s’avèrent efficaces. Références Lecrubier A. Prise en charge de l’HTA en France des chiffres de plus en plus mauvais – Medscape – 7 janv 2020 Perrine AL, et al. Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire 2018;10170-9 Hall JE. The kidney, hypertension, and obesity. Hypertension 2003;41625-33 Neter JE, et al. Influence of weight reduction on blood pressure A meta-analysis of randomized controlled trials. Hypertension 2003;42878-84 Christensen L, et al. Metabolic improvements during weight loss The RNPC cohort. Obesity Medicine 2019;14100085
Types) de contenu et mode(s) de consultation : Texte noté. Image fixe : sans médiation. Auteur(s) : Comité français de lutte contre l'hypertension artérielle Voir les notices liées en tant qu'auteur Société française d'hypertension artérielle Voir les notices liées en tant qu'auteur . Titre(s) : La pression artérielle [Texte imprimé] : mesure, variations, interprétations © Pixabay Que savez-vous de l’hypertension ? Très répandue, l’hypertension artérielle n’en est pas moins mal connue. Et un grand nombre d’idées reçues existent sur cette maladie, même chez les patients les mieux informés. Si après ce quiz, certains points restent encore obscurs, n’hésitez pas à en discuter avec votre médecin. Homme d’expérience, il pourra compléter les réponses et le cas échéant vous adresser à un spécialiste. 6 questions pour faire le point. Paroles d’hypertendus, Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle, CFLHTA. [QUIZZIN 5] En savoir plus sur l’hypertension – pression artérielle Itis Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle. Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle listed as CFLHTA Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle listed as CFLHTA

Le bulletin épidémiologique », publié le Mardi 16 décembre, par le Comité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle met en avant que les français sont hypertendus et que 20 à 50% d’entre eux ne le savent pas ou ne sont pas traités comme il se doit. Dans ce bulletin, nous pouvons y trouver 2 études qui ont été menées en métropole. La première enquête a été réalisée par l'Institut de veille sanitaire INVS en 2006-2007. L’échantillon comporte 2 413 Français tirés au sort âgées de 18 à 74 ans qui ont accepté de se soumettre à plusieurs mesures de leur tension artérielle. Voici un résumé des résultats obtenus - 77 % des volontaires ont une tension artérielle normale et 23 % ont des valeurs élevées 28,3 % des hommes et 17,7 % des femmes - L'hypertension frappe 31 % de la population en prenant en compte les personnes ayant une tension normale grâce aux traitements - La fréquence de l'hypertension artérielle HTA croît de manière linéaire avec l’âge - Deux tiers des 63-74 ans sont concernés - 52,2 % des hypertendus ont déclaré être au courant de leur hypertension - Les femmes sont mieux informées que les hommes au niveau du statut tensionnel - Supposition d’un lien entre le niveau d'éducation et l’hypertension - 52,4 % des volontaires n'ayant que le certificat d'études apparaissent hypertendus - 23 % des volontaires diplômés de l'enseignement supérieur apparaissent hypertendus - cause consommation excessive d'alcool et obésité moins important dans les milieux plus éduqués. Une seconde enquête a été créé, dite Mona Lisa où un tirage aléatoire a été effectué sur 4 825 personnes provenant des listes électorales dans la communauté urbaine de Lille et dans les départements du Bas-Rhin et de la Haute-Garonne. Quelques résultats - Les chiffres de la tension artérielle sont plus élevés à Lille et à Strasbourg qu'à Toulouse - L'hypertension est plus fréquente chez les hommes - 23 % des hommes de 35-44 ans sont hypertendus - 79,8 % des 65-74 ans sont hypertendus - 80 % des hypertendus bénéficient d'un traitement dans cette étude - Seulement 24 % des hommes et 39 % des femmes ont une hypertension correctement contrôlée par les médicaments - La fréquence de l'HTA croît de manière linéaire avec l’âge Il y a peut-être quelques différences entres ces deux enquêtes mais nous pouvons dire que trop de personnes ignorent qu’ils sont atteint d’hypertension ou qui ne sont pas traités comme il se doit malgré les nombreuses campagnes d’informations qui sont effectuées. Sources

Mardi18 décembre se déroule la Journée Nationale de lutte contre l’hypertension artérielle. Parce qu’un hypertendu sur deux seulement suit parfaitement son traitement et que sur les 15 millions de Français hypertendus, 4 millions l’ignorent, le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle (CFLHTA) lance une campagne pour aider les Français à surveiller leur Attaques cérébrales et démences font partie des dangers menaçant l'hypertendu qui s'ignore ou néglige son traitement, soulignent les spécialistes à l'occasion de la Journée nationale de lutte contre l'hypertension, organisée mardi, sur le thème "Je protège mon cerveau en soignant mon hypertension!". L'enjeu est d'importance "15 millions de Français sont touchés par l'hypertension dont 10,5 millions sont traités", indique à l'AFP le Dr Xavier Girerd du Comité français de lutte contre l'hypertension Artérielle CFLHTA qui débute sa campagne 2009 à l'occasion de cette journée. On peut décharger une brochure ou tester ses connaissances sur son site avec des "quiz" questions vrai-faux sur hypertension artérielle HTA et alcool, pilule ou exercice physique ou savoir comment mesurer soi même sa tension. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Espérance de vieMal soignée, l'hypertension artérielle peut provoquer des infarctus du myocarde, des insuffisances rénales, des accidents vasculaires cérébraux AVC, mais aussi des troubles de la mémoire, des démences", souligne le Comité . "L'espérance de vie des hypertendus traités est identique à celle de la population indemne d'HTA, alors que celle des non traités est raccourcie de sept ans". "Le traitement anti-HTA est le seul moyen de prévention efficace reconnu pour éviter les risques de démence", ajoute le comité. "En abaissant ses chiffres en dessous de 14/9 on peut réduire de 42% le risque d'AVC", relève aussi le Dr Girerd. "Sur les patients traités, 51 % sont contrôlés tension en dessous de 14/9 contre 40 % il y a 5 ans. Ce résultat place la France en tête des pays européens en terme de bons traitements", dit-il . L'AVC est la 3e cause de décès en France et la 1ère cause de handicap paralysie.... De nombreuses études ont récemment démontré l'effet protecteur des médicaments antihypertenseurs contre le déclin intellectuel et la démence, selon le professeur Jean-Jacques Mourad, président du CFLHTA. Parmi elles, une étude appelée "Syst-EUR 2" sur près de 3000 patients pendent 4 ans, a prouvé pour la première fois en 2001 qu'un traitement antihypertenseur réduit de 55% les risques de survenues de démences de tout type y compris d'Alzheimer, souvent associée aux démences vasculaires. Les plus lus OpinionsLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar Gérald BronnerLa chronique d'Aurélien SaussayPar Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique LeComité Français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle (CFLHTA) souhaite informer le. Comment sait-on que l'on est hypertendu ? Le sa. Aliments A Eviter Contre L’hypertension
AccueilSantéDéfinitionsSantéBêta-bloquant qu'est-ce que c'est ?DéfinitionClassé sous médecine , médicament , adrénalineLe bêta-bloquant permet de diminuer le rythme cardiaque. © DR Ces médicaments sont utilisés en cardiologie depuis le milieu des années soixante. Ces médicaments qui ont la propriété de faire baisser la pression artérielle, sont indiqués dans la prise en charge de l'insuffisance cardiaque, de l'angine de poitrine, de l'hypertension artérielle, de l'infarctus du myocarde, des accès de tachycardies... Dans l'hypertension artérielle, le traitement bêtabloquant ainsi que les diurétiques restent des options de choix. Comment agissent les bêtabloquants ?Leur mode d'action principal repose sur la diminution de l'activité du système nerveux. Après une période de latence, ils réduisent l'hypertension artérielle par des mécanismes complexes diminution du débit cardiaque et inhibition de la sécrétion de rénine, une enzyme nécessaire à la formation de l'angiotensine 2. L'effet antihypertenseur de ces médicaments est obtenu avec de faibles contrindications ou précautions ?Ces médicaments peuvent être à l'origine d'asthénie, d'un refroidissement des extrémités maladie de Reynaud, de bradycardie ralentissement anormal du rythme cardiaque, de troubles digestifs diarrhées, gastralgies, nausées, vomissements, d'une diminution des performances physiques à l'effort. Sources Manuel Merck - 4e éditionComité français de lutte contre l'hypertension artérielle, site consulté le 17 juin 2011Pharmacorama, site consulté le 17 juin 2011Cela vous intéressera aussiIntéressé par ce que vous venez de lire ?
LeComité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) souligne que les traitements contre l’hypertension artérielle ont réduit considérablement le nombre de décès par accidents vasculaires cérébraux (AVC) en 20 ans. Une bonne hygiène de vie (perte de poids, arrêt du tabac et consommation de sel limitée) doit être associée à ces traitements pour D'après une étude du comité français de lutte contre l'hypertension artérielle, les patients hypertendus sont aujourd'hui mieux contrôlés qu'il y a cinq ans, notamment grâce à une plus grande utilisation des appareils d' personnes souffrant d'hypertension artérielle sont-elles bien suivies ? Le 16 décembre 2015 a lieu la Journée nationale de lutte contre l'hypertension artérielle HTA. À cette occasion, le comité français de Lutte contre l'Hypertension Artérielle CFLHTA présente les résultats de son étude FLAHS 2015, menée par Kantar Health auprès de plus de 6 379 Français âgés de 55 et de contrôles et d'auto-mesureMême si les objectifs fixés par le CFLHTA ne sont pas atteints, le suivi des hypertendus est en progression. Ainsi, 55% des hypertendus traités et âgés de plus de 55 ans sont contrôlés, c'est-à-dire qu'ils présentent une pression artérielleinférieure à 135 mm de mercure en pression systolique et inférieur à 85 mm de mercure pour la pression diastolique, contre seulement 35% en 2002. Cette amélioration s'explique notamment par la mise en place de recommandations françaises et européennes et par la distribution depuis 2013 d'appareils d'auto-mesure aux médecins généralistes par la Caisse nationale d'Assurance Maladie CNAM. Les médecins peuvent prêter cet appareil à leurs patients pour qu'ils mesurent eux-mêmes leur tension avant de venir en consultation. 44% des hypertendus traités disposent désormais d'un appareil d'auto-mesure et savent prendre correctement leur pression artérielle, contre 36% en 2010. L'intérêt de cette pratique est d'adapter au mieux les traitements grâce à des mesures fiables et à limiter "l'effet blouse blanche" qui peut générer une tension plus élevée lorsque l'on se trouve en face d'un médecin. "Depuis 2002, nous observons une amélioration du contrôle tensionnel avec cette méthodologie. Elle est le meilleur moyen d'évaluer la pression artérielle d'un patient hypertendu" explique le Professeur Xavier Girerd, cardiologue au Centre Hospitalier Universitaire CHU de la Pitié-Salpêtrière et trésorier du traitements mieux adaptésL'étude FLAHS met également en évidence une évolution des traitements la prescription de monothérapies diminue au profit de celle des bithérapies et des trithérapies, mieux adaptées à l'hypertension et plus efficaces. "L'hypertension est une maladie plurifactorielle l'âge, le sexe, l'hérédité, le sel, le système nerveux... Un seul médicament ne permet pas de traiter l'ensemble de ces facteurs. Il est donc nécessaire de faire des associations médicamenteuses pour améliorer le contrôle des hypertendus", développe le Dr Bernard Vaïsse, président du CFLHTA et cardiologue à l'hôpital de la Timone, à Marseille. En parallèle, le nombre de consultations des patients hypertendus traités chez leur médecin généraliste ou chez leur cardiologue est en nette augmentation, ce qui facilite évidemment le contrôle de l'hypertension.... mais encore mal suivisNéanmoins, l'observance des traitements semble encore insuffisante puisque "seulement 62% des Français hypertendus traités suivent leur traitement jusqu'à la fin, respectent la posologie et n'oublient jamais de le prendre" déplore le CFLHTA dans un communiqué. "L'hypertension artérielle est une maladie silencieuse. En 20 ans, les décès par accidents vasculaires cérébraux AVC ont été divisés par 4 en France grâce aux traitements contre l'hypertension artérielle. Les hypertendus ne doivent donc pas avoir peur des médicaments prescrits car ils sont des prolongateurs de vie" souligne le docteur Bernard Vaïsse. Face au suivi du traitement, les femmes de plus de 55 ans seraient de meilleures élèves que les hommes du même âge puisqu'elles sont 67% à être parfaitement observantes, contre 57% des hommes. Et si la sagesse s'acquiert avec l'âge, la prise régulière d'un traitement ne déroge pas à cette règle, car 65% des 65-79 ans sont observants contre seulement 57 % des 55-64 ans.>> A lire aussi Hypertension 5 façons de normaliser votre tension naturellement Le syndrome prémenstruel serait-il lié à l'hypertension ?Hypertension mesurer sa tension chez soi est plus économique Insolite Internet favoriserait l'hypertension Inscrivez-vous à la Newsletter de Top Santé pour recevoir gratuitement les dernières actualités
Encollaboration avec la Fondation de recherche sur l’hypertension artérielle (FRHTA), le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle (CFLHTA) se lance dans une campagne de sensibilisation afin d’inciter les hypertendus à prendre leur traitement en main et à mieux gérer leurs consultations.Avec 12 millions de patients, l’hypertension est la maladie
Le 18 décembre prochain se déroulera la Journée Nationale de Lutte contre l’Hypertension Artérielle HTA. A cette occasion, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle CFLHTA et ses partenaires lancent leur nouvelle campagne Quand l’hypertension fait perdre la tête », relayée sur le site www​.comitehta​.org. Sa mission alerter les patients sur l’altération des artères du cerveau provoquée par l’hypertension artérielle,le diabète, l’hypercholestérolémie, le surpoids ou encore le tabagisme et sur l’importance de les protéger. Les deux conséquences vasculaires principales étant l’augmentation des risques de survenue d’accident vasculaire cérébral AVC et la perte de mémoire maladie d’Alzheimer. Chaque année, 130 000 accidents vasculaires cérébraux sont favorisés par l’HTA dans notre pays constituant une des premières causes de d’après la dernière étude FLAHS 2014 sur l’hypertension en France réalisée par Kantar Health à la demande du Comité Français de la Lutte contre l’HyperTension Artérielle CFLHTA, 30 % de la population française âgée de 35 ans et plus est traitée par un médicament antihypertenseur, soit 11,4 millions de personnes ; ce chiffre n’a pas évolué depuis la dernière étude FLAHS en 2012. A noter que seulement 49% des hypertendus traités sont contrôlés, loin derrière l’objectif 2015 de traiter et de contrôler 70% de patients hypertendus fixé par le CFLHTA, la Société Française d’Hypertension Artérielle SFHTA, la Société Française de Gériatrie et de Gérontologie SFGG et la Direction Générale de la Santé DGS.La prise en charge et le traitement de l’hypertension artérielle peuvent réduire significativement le risque de survenue des troubles de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer. La baisse de la pression artérielle par un traitement hypertenseur peut réduire de 50% le risque de troubles de la mémoire, d’où l’intérêt de traiter l’hypertension en veillant à ce que la tension artérielle reste dans des valeurs normales », affirme le Professeur Olivier Hanon, chef de service de gérontologie à l’hôpital Broca,à Paris, Président de la Société Française de Gériatrie et de Gérontologie SFGG. De nos jours, soigner son hypertension artérielle représente le premier traitement préventif des troubles de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer », insiste le Pr Olivier Hanon. Quand l’hypertension fait perdre la tête », la nouvelle campagne destinée aux hypertendusLes accidents vasculaires cérébraux, les troubles de la mémoire, la démence ou encore la maladie d’Alzheimer sont des pathologies perçues par le grand public comme une perspective angoissante. Pour les patients atteints d’hypertension artérielle, le lien entre leur pathologie, les démences et la maladie d’Alzheimer est peu connu. Nous avons donc choisi de les sensibiliser à ce lien dans ce livret et de leur montrer le bénéfice du traitement de l’hypertension artérielle sur la prévention des démences », explique le Pr Jean-Jacques livret informe également les patients des répercussions d’autres facteurs à risque vasculaire tels que le diabète, le surpoids, le tabagisme ou encore l’inactivité physique sur le bon fonctionnement de leurs artères et de leur implication dans les troubles de la mémoire ou encore la maladie d’Alzheimer. En dépistant et en traitant l’hypertension artérielle ainsi que les autres facteurs de risque vasculaire associés, il est possible de réduire significativement les risques de démences et de maladie d’Alzheimer et de ne plus vivre dans cette inquiétude », ponctue le Dr Bernard le livret Quand l’hypertension fait perdre la tête » téléchargeable gratuitement sur www​.comitehta​.org sNdP.
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