LEverest, le plus haut sommet du monde, a pris de la hauteur mardi, après que la Chine et le Népal se sont finalement accordés sur son altitude précise, après des décennies de débats.L
Lisez tous les articles premiums avec votre abonnement numérique S'abonner à 1€ vendredi 01/07/2022 à 11h57 Société Rognac Le Rognacais s'est lancé le pari de gravir les 5 895 m du fameux du Kilimandjaro afin de rendre hommage à un membre de sa famille. Au fil de sa préparation et de son ascension, il est finalement devenu accro à l'exercice. Rencontre Photos DR 1/4 Outre l'ascension du plus haut sommet d'Afrique, composé notamment de trois volcans, Renaud photo centrale, a dû aussi traverser une végétation hostile avec ses compères de course avant d'atteindre son but. Photo DR 2/4 Outre l'ascension du plus haut sommet d'Afrique, composé notamment de trois volcans, Renaud photo centrale, a dû aussi traverser une végétation hostile avec ses compères de course avant d'atteindre son but. Photos DR 3/4 Photos DR 4/4 Après avoir traversé la Corse à travers le GR20, le Rognacais Renaud Aita a réalisé le projet fou de gravir le Kilimandjaro, le plus haut sommet d'Afrique 5 895 m. "C'était une manière de rendre hommage à mon parrain décédé d'un cancer ; gravir ce sommet m'a permis de me rapprocher de mes étoiles", raconte Renaud de 41 ans l'affirme "Cette ascension a aussi été une aventure spirituelle, elle permet de se concentrer sur soi-même et de découvrir de nouvelles cultures." La montée du sommet n'a cependant pas été de tout repos pour le Rognacais et son équipe. "Physiquement, on a réussi à tenir mais certaines personnes du groupe, dont moi, avons eu le mal des montagnes NDLR, dû au déficit en oxygène ressenti en ha Il vous reste 90% à lire. Déjà abonné ? Se connecter Comment accéder à cet article ?
Dakar le 4 octobre 2021 – Le Nouveau Sommet Afrique-France, rassemblera pour la première fois, des centaines de jeunes entrepreneurs, artistes, chercheurs, athlètes, étudiants, personnalités engagées d’Afrique et de France. Côté sport, sportifs de haut-niveau et sportifs amateurs du continent africain se retrouveront pour une journée d’animations
Besoin de prendre un peu de hauteur ? Découvrez le classement des 30 plus hauts sommets du monde, ceux que les plus grands alpinistes rêvent de grimper. En plus d’être magnifiques, ces montagnes s’imposent avec des reliefs à couper le souffle. L’Asie est de loin le continent avec la plus vaste collection de sommets incroyables. Par contre soyez prudent, seuls les alpinistes les plus aguerris et expérimentés seront en mesure de faire certaines de ces ascensions. 1. L’Everest Le Mont Everest est le plus haut sommet du monde avec 8 848 mètres d’altitude ! C’est bien évidemment l’une des montagnes les plus dangereuses à gravir, quelque 300 personnes y ont perdu la vie. Toutefois, 5 000 alpinistes sont parvenus à atteindre le sommet sur près de 14 000. 2. Le K2 Culminant à 8 611 mètres d’altitude, le K2 est le second plus haut sommet du monde. Cette montagne pakistanaise est réputée pour être la plus difficile à gravir, c’est pour cela qu’elle est connue sous le nom de la Montagne Sans Pitié. Mais certains y sont parvenus, non sans peine ! 3. Le Kangchenjunga Appartenant à la chaîne de l’Himalaya, le Kangchenjunga se hisse sur le podium des montagnes les plus hautes du monde avec 8 586 mètres. Troisième plus grande montagne après le K2 et l’Everest, le Kangchenjunga était considéré comme étant le plus haut sommet du monde jusqu’en 1852. 4. Le Lhotse Perché entre le Tibet et le Népal, le Lhoste est peu connu mais il culmine à 8 516 mètres d’altitude, il fait partie du cercle fermé des sommets s’élevant à plus de 8 000 mètres. Cette montagne immense est d’ailleurs séparée de l’Everest par le col du Sud. 5. Le Makalu Culminant à 8 485 mètres, le Makalu, dans l’Himalaya, figure à la cinquième place du classement des plus hauts sommets du monde. Sa première ascension a été réalisée par les Français Jean Couzy et Lionel Terray en 1955, juste avant d’atteindre le sommet de l’Everest ! 6. Le Cho Oyu Le Cho Oyu est une montagne chinoise culminant à 8 188 mètres d’altitude. La première ascension du Cho Oyu a été réalisée avec succès en octobre 1954 par les alpinistes Herbert Tichy, Josef Jöchler et Pasang Dawa Lama. 7. Le Dhaulagiri Le Dhaulagiri est la plus haute montagne entièrement conservée du Népal avec une altitude de 8 167 mètres. Lorsqu’il a été découvert par les Européens, le Dhaulagiri était considéré comme le plus haut sommet du monde. 8. Le Manaslu Située au Népal, la montagne Manaslu cumule à 8 163 mètres de hauteur. Afin de promouvoir le tourisme et d’attirer de nombreux visiteurs, un circuit de 177 kilomètres a été mis en place pour les randonneurs, autour de la montagne. 9. Le Nanga Parbat Le Nanga Parbat clotûre le cercle fermé des sommets culminant à plus de 8 000 mètres d’altitude avec 8 125 mètres de haut. Cette montagne porte également les noms de Montagne Nue ou Demir signifiant Roi des Montagnes » en pakistanais. 10. L’Annapurna I Certaines montagnes reviendront souvent dans ce classement, dont l’Annapurna culminant à 8 091 mètres d’altitude. Toutefois, celle-ci possède deux sommets l’un à l’est 8 010 mètres et l’autre, le sommet central, à 8 051 mètres de haut. L’Annapurna est connu pour être très meurtrier ! 11. Le Gasherbrum I Situé dans le Karakoram, le Gasherbrum I culmine à 8 068 mètres d’altitude. Cette montagne porte également deux autres noms K7 et Hidden Peak. Ce onzième plus haut sommet du monde a été baptisé par Thomas George Montgomerie en 1856. 12. Le Broadpeak Implanté entre la frontière chinoise et pakistanaise, le Broadpeak culmine à 8 047 mètres d’altitude, faisant de lui le douzième plus haut sommet de monde. Le sommet du Broadpeak est particulier car très large comparé aux autres montagnes, donnant le nom de Broadpeak. 13. Le Gasherbrum II Le Gasherbrum II est le treizième plus haut sommet du monde. Il est aussi appelé K4, sa découverte a également été réalisée par Thomas George Montgomerie 1856. 14. Le Shishapangma Le Shishapangma ou Shisha Pangma, aussi appelé Gosainthan en sanskrit, est une montagne culminant à 8 027 mètres d’altitude. Elle se trouve au Tibet, en Chine, dans la chaîne de l’Himalaya. 15. Le Gyachung Kang Le Gyachung Kang est le quinzième plus haut sommet du monde. Situé dans la région de Khumbu dans l’Himalaya, il est le plus haut sommet entre le Cho Oyu et l’Everest. 16. Le Gasherbrum III Le Gasherbrum III se situe entre le Gasherbrum II et le Gasherbrum IV dans le Gasherbrum situé dans le Karakoram. Le Gasherbrum III a été, de 1964 à 1975, le plus haut sommet vierge du monde, et il est bel bien l’un des plus hauts sommets du monde, évidemment ! 17. L’Annapurna II Parmi les plus hauts sommets du monde figure l’Annapurna II, la réplique parfaite de sa sœur Annapurna I, cumulant une altitude de 7 937 mètres de haut. Cette montagne fait partie de l’immense massif de l’Himalaya . 18. Le Gasherbrum IV Le Gasherbrum IV est le dix-septième plus haut sommet du monde. Il se situe dans le Gasherbrum dans la région du Karakoram. Même si cette montagne ne figure pas dans le club des 8 000, il faut quand même préciser qu’elle culmine à 7 925 mètres d’altitude. 19. HImalchuli Le Himalchuli est la dix-huitième plus haute montagne du monde, située au Népal dans la chaîne de l’Himalaya avec 7 893 mètres d’altitude. D’ailleurs, cette montagne se trouve à proximité du Manaslu dans le Mansiri Himal. 20. Le Ngadi Chuli Le Ngadi Chuli est situé au Népal et s’élève à 7 871 mètres d’altitude. Cette montagne connaît également deux autres noms Dakura et Peak 29, son emplacement est proche du Manaslu. 21. Le Nuptse Le Nuptse est un sommet népalais dans la région de Khumbu situé au sud-ouest de l’Everest. Son nom signifie en tibétain Sommet de l’Ouest ». Il figure également au classement des plus hauts sommets du monde avec 7 861 mètres d’altitude. 22. Le Masherbrum Perché au Pakistan, le Masherbrum culmine à 7 821 mètres de haut dans le Karakoram. On appelle également cette montagne le K1. En plus d’être l’un des plus hauts sommets du monde, celui-ci est considéré comme l’un des plus difficiles à escalader et un des plus mystérieux. 23. Le Nanda Devi La Nanda Devi, signifie déesse de la Félicité », cette magnifique appellation fait d’elle la plus haute montagne intégralement contenue dans le territoire indien. En plus d’être protégé au cœur d’un parc national, le Nanda Devi culmine à 7 816 mètres d’altitude. 24. Le Chomo Lonzo Le Chomo Lonzo est situé en République populaire de Chine avec 7 790 mètres d’altitude. Le Chomo Lonzo fait également partie du groupe du Makalu et reste à proximité des frontières séparant la Chine du Népal et du Tibet. 25. Le Batura Sar Le Batura Sar est situé au Pakistan, il est le plus haut sommet du massif du Batura Muztagh, mais également le vingt-cinquième à échelle mondiale. Avec ses 7 795 mètres d’altitude, le Batura Sar aussi dénommé Batura I, Batura Muztagh I, Batura Mustagh I et Batoura Mustagh I. 26. Le Rakaposhi Le Rakaposhi, également connu sous le nom de Dumani, est l’un des plus hauts sommets du monde culminant à 7 788 mètres de haut. La montagne se trouve dans la vallée de Nagar, à environ 100 km au nord de Gilgit, encore et toujours dans le Karakoram ! 27. Le Namcha Barwa Culminant à 7 782 mètres d’altitude, le Namcha Barwa domine de près de 5 000 mètres de haut la boucle formée par le canyon du Yarlung Tsangpo. Sa première ascension a été réalisée et réussie par des Sino-Japonais en 1992. 28. Le Dhaulagiri II Le Dhaulagiri II situé dans la chaîne de l’Himalaya culmine à 7 751 mètres de haut, faisant de lui le 28ème plus haut sommet. 29. Le Saltoro Kangri Avec 7 742 mètres de haut, le Saltoro Kangri est l’avant-dernier plus haut sommet du monde dans ce classement, perché dans la chaîne mineure du Karakoram. La montagne du Saltoro Kangri s’élève au-dessus des vallées du Kondus et du Saltoro. 30. Le Jannu Kumbhakarna Hissé à 7 710 d’altitude, le Jannu est considéré comme le plus petit sommet parmi les plus hauts sommets du monde. C’est un peu le dernier d’une importante fratrie qui prolonge l’arête occidentale du Kangchenjunga. Le Jannu est également considéré comme l’une des montagnes les plus difficiles à gravir, la première ascension a eu lieu en avril 1962.
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Kilimandjaro: à la découverte du plus haut sommet d'Afrique. par franceinfo. info. signaler . Une équipe de France 2 vous emmène faire l'assomption du Kilimandjaro, point
Des Marocaines veulent gravir le Kilimandjaro, plus haut sommet d’Afrique Le 28 mars 2017 à 12h05 Modifié 28 mars 2017 à 12h05 Cinq Marocaines s'apprêtent à gravir le Kilimandjaro, le plus haut sommet africain en Tanzanie, à m d'altitude. Objectif planter le drapeau du Maroc sur le toit de l'Afrique. Cette expédition sera encadrée par Nacer Ibn Abdeljalil, premier Marocain à avoir atteint l'Everest. "J'ai eu l'idée de cette expédition symbolique après le retour du Maroc au sein de l'UA", a confié Ibn Abdeljalil à la MAP, faisant savoir qu'il s'est empressé de la partager sur sa page Facebook où elle a été accueillie avec beaucoup d'enthousiasme. L'expédition, qui débute jeudi 30 mars, doit durer une semaine avec une arrivée au sommet du Kilimandjaro prévue pour le 3 avril. Le groupe comprendra Zineb Alaoui Kacimi, Yasmina Sitaïl, Malika El Alami, Ilham Boujlid et Asmae Chraibi. Le 28 mars 2017 à 12h05 Modifié 28 mars 2017 à 12h05
Ceplus haut pic de la Tanzanie se trouve à 5 895,8 mètres d’altitude sur le Kibo, un des montagnes volcaniques formant lui-même le Kilimandjaro. Avec une telle altitude, l’Uhuru Peak offre un paysage inégalable aux alpinistes y parvenant. Toutefois, il faut avouer qu’elle est aussi un grand défi pour ces derniers, surtout avec la
Parmi les continents les plus attractifs pour les voyages et les expéditions, l’Afrique est le continent des inconnus. L’article suivant compile notre liste de ce que nous considérons comme les 5 meilleures ascensions en Afrique. Outre les montagnes et les paysages grandioses, on y trouve aussi des gens de toutes sortes et une nature mystérieuse, même pour les biologistes experts. Pour nous, le retour de l’une de ces ascensions en Afrique a été une expérience qui a changé notre vie. Kilimandjaro = 5895 mètresLe mont Kenya = 5199 mètresRuwenzori = 5109 mètresLe mont Meru = 4566 mètresMont Karisimbi = 4506 mètresRas Dashen = 4543 mètresDjebel Toubkal = 4167 mètresLe Mont Cameroun = 4095 mètres Kilimandjaro Ce volcan, qui fait partie du massif volcanique du Kilimandjaro, est situé dans l’État de Tanzanie. Il s’agit du plus haut sommet d’Afrique, culminant à 5895 mètres au-dessus du niveau de la mer. Malgré la croyance populaire, le massif du Kilimandjaro est en fait constitué de trois cratères volcaniques distincts. Le cratère le plus jeune, le plus haut et le plus célèbre est le Kibo, dont le point culminant est le pic Uhuru, qui mesure 5 895 mètres et est utilisé par toutes les expéditions. Le mont Kenya Le Mont Kenya, haut de 5199 mètres, est le plus haut sommet du Kenya et la deuxième plus grande montagne d’Afrique. Il est également appelé Kere Nyaga » ou Montagne de la clarté ». Les indigènes croient qu’il s’agit de la demeure du dieu Ngai. Le parc national des montagnes du Kenya abrite la montagne. L’UNESCO a inscrit le parc national des Montagnes du Kenya sur la liste du patrimoine mondial culturel et naturel depuis 1997. Parmi les vues les plus impressionnantes du parc, on ne trouve celles que l’on peut voir dans aucun autre parc d’Afrique de l’Est. Il y a des milliers d’années, le sommet et les pentes de la montagne étaient recouverts par un glacier, qui les a érodés. Une vallée glaciaire en forme de U, parsemée de fleurs sauvages, compte désormais 11 petits glaciers en fusion et quatre pics. On prévoit toutefois que les glaciers en fusion disparaîtront d’ici 30 ans. Ruwenzori Une montagne d’Afrique qui est la troisième plus haute du monde. Elle mesure 5109 mètres de haut et est située en Ouganda. Chaîne de montagnes d’origine volcanique en Afrique centrale, à la frontière de la RD Congo et de l’Ouganda. Depuis 1980, elle est désignée sous le nom de Rwenzori. Entre le lac Albert au nord et le lac Édouard au sud, il est situé à l’ouest de la vallée du Grand Rift. Le massif s’étend sur environ 120 km de long et 65 km de large. Le mont Meru Avec ses 4566 m, c’est la deuxième plus haute montagne de Tanzanie et la cinquième plus haute d’Afrique. Le mont Meru est un magnifique sommet à la portée de tous, qui peut servir d’antichambre au Kilimandjaro ou constituer un objectif à part entière. Une visite du parc national d’Arusha en Tanzanie, où la montagne est pratiquée différemment Djebel Toubkal À 4167 m, c’est le point culminant du Maroc. En plus d’être le point culminant du Haut Atlas, le Jebel Toubkal se trouve également au Maroc. Point culminant de l’Afrique du Nord, il atteint 4167 mètres d’altitude ! Ses panoramas spectaculaires et son climat raviront tous les amoureux de la montagne ! Le Mont Cameroun Avec une hauteur de 4095m, c’est la plus haute montagne du Cameroun. À une altitude de 4095 mètres au-dessus du niveau de la mer masl, le mont Fako, également connu sous le nom de mont Cameroun, est l’un des plus hauts volcans d’Afrique. Le volcan est situé près de la côte ouest du Cameroun. Sa côte est couverte de jungles tropicales, et à mesure que l’on monte en altitude, le climat devient plus froid et plus venteux, et le sommet est parfois couvert de neige, même lorsqu’il est très proche de l’équateur. Le basalte, la roche dominante du cône volcanique, est composé de la lave issue d’éruptions massives. Au Crétacé et au Quaternaire, les éruptions ont recouvert des roches métamorphiques précambriennes. Le mont Karisimbi Situé à 4506 m au-dessus du niveau de la mer, c’est la plus haute montagne du Rwanda. En République démocratique du Congo, le mont Karisimbi se trouve le long de la frontière rwandaise. Il est le plus haut sommet des Virunga, s’élevant à 4 507 mètres au-dessus du niveau de la mer. Ses pentes sont situées dans le parc national des volcans, qui abrite quelques-unes des dernières populations de gorilles sauvages du monde. Ras Dashen Avec une hauteur de 4543 mètres au-dessus du niveau de la mer, c’est la plus haute montagne d’Éthiopie. Les hauts plateaux montagneux de l’Éthiopie la distinguent du reste du continent africain avec de nombreux sommets de plus de 4 000 mètres.
Bienvenueau Nouveau Sommet Afrique-France. La matinée du Nouveau Sommet Afrique-France proposait aux 3 000 participants une déambulation masquée et casquée entre six pôles thématiques. Sur autant de scènes, des intervenants se sont relayés, entre 9 heures et 14 heures, au rythme très soutenu d’interventions courtes de cinq à dix
Un jeune Américain, Tyler Armstrong, a réussi la prouesse de gravir à l'âge de 9 ans le plus haut sommet d'Amérique, l'Aconcagua, à près de mètres, dans la Cordillère des Andes, selon le site internet de l'expédition. Il est arrivé au sommet mardi, le jour de Noël, en compagnie de son père et de guides de montagne. Il a dû obtenir une autorisation spéciale des autorités argentines pour s'aventurer sur les pentes de l'Aconcagua. Tyler Armstrong a même battu le record de précocité de l'Aconcagua, situé dans la province de Mendoza ouest de l'Argentine, près de la frontière avec le Chili, selon le chef de file de l'expédition, Nicolas Garcia, interrogé par la chaîne de télévision argentine C5N."Nous sommes fiers de vous annoncer que Tyler Armstrong a battu le record de l'Aconcagua, il est parvenu au sommet le 24 décembre", peut-on lire sur le site internet "Je suis tellement fière de toi mon chéri! Je peux arrêter de me faire du souci maintenant. En fait, tu risques de continuer à me faire peur si tu continues d'être aussi aventurier", a déclaré sur le compte Facebook Priscila Armstrong, mère du jeune Armstrong avait déjà atteint cette année le sommet du Kilimandjaro Tanzanie, point culminant du continent africain mètres.
Lesommet du Chimborazo, point le plus éloigné du centre de la Terre. La Terre ayant une forme d'ellipsoïde, dont le rayon est environ 21 km plus important à l'équateur qu'aux pôles, et
Le plus haut sommet d'Afrique du Sud est Mafadi, qui est situé à la frontière du Royaume du Lesotho, une nation enclavée complètement entourée par la République d'Afrique du Sud. L'altitude de Mafadi est de 11 320 pieds, ou 11 319 pieds selon certaines sources, et c'est le deuxième plus haut sommet de la chaîne de montagnes connue sous le nom de Drakensberg. Le plus haut sommet de toute la chaîne du Drakensberg, à 11 424 pieds, est le Thabana Ntlenyana, qui est situé à l'intérieur des frontières du Royaume du chaîne de montagnes du Drakensberg est la partie orientale de la formation géologique connue sous le nom de Grand Escarpement qui traverse la République d'Afrique du Sud et le Royaume du Lesotho. Le Grand Escarpement entoure le plateau d'Afrique australe et c'est cette partie orientale qui atteint les plus hautes altitudes. Sept sommets montagneux de cette région atteignent des hauteurs allant de près de 11 000 pieds à plus de 11 400 partie du Grand Escarpement connue sous le nom de chaîne du Drakensberg s'étend du sud au nord sur plus de 600 milles. Son nom est dérivé du terme afrikaans Montagnes du Dragon ». Le nom du plus haut sommet de la chaîne au sein de la République d'Afrique du Sud, Mafadi, serait dérivé du terme zoulou désignant un "chien satisfait". D'autres articles intéressants
Excursionsur le plus haut sommet d’Afrique le Kilimanjaro. Escalade des montagnes du Kilimandjaro, safari pour découvrir les Big Five (les 5 mammifères les plus impressionnants de l’Afrique, dont le léopard, le lion, le buffle, l’éléphant, le léopard et le rhinocéros) bref, diverses merveilles vous attendent dans cet éden sauvage. Ascension
Voir toute la catégorie Pro Publié le 18/08/22 à 16h55 1 Le Kilimandjaro en passe d'être équipé d'une connexion internet haut débit ? C'est l'objectif que s'est fixé le ministre tanzanien de l'Information, Nape Nnauye, pour la fin de l'année. Le Kilimandjaro bientôt équipé d'une connexion internet haut débit ?© Getty ImagesEt si même les coins les plus reculés, les plus "authentiques", finissaient par succomber à la folie des réseaux sociaux ? C'est typiquement ce qui est en train d'arriver au Kilimandjaro 5895 mètres d'altitude qui devrait être équipé d'une connexion internet haut débit d'ici la fin de l'année. Le plus haut sommet d'Afrique va donc imiter le plus haut du monde, l'Everest, qui est équipé d'un accès à Internet depuis 16 août, le réseau était installé à 3720 mètres d'altitude. Et déjà, le ministre de l'information de la Tanzanie, Nape Nnauye, qualifiait l'événement d'historique. L'objectif annoncé ? Renforcer la sécurité des porteurs et des grimpeurs lors de leur ascension. Mais nul doute que l'accès à Internet permettra également à toute personne équipée d'un smartphone de diffuser ses exploits en temps réel sur Snapchat, Instagram ou encore Twitter... comme si la course à la meilleure "story" ne pouvait pas être mise sur pause le temps d'une sur le mont Kilimanjaro Je hisse des communications INTERNET à haut débit haut débit sur le toit de l’ touristes peuvent désormais communiquer dans le monde entier depuis le sommet du ALLONS AU PIC UHURU.royaltourcompliment Nape Moses Nnauye Nnauye_Nape August 16, 2022Pour rappel, environ 35 000 personnes tentent l'ascension du Kilimandjaro chaque année, ce qui représente une source de revenus importante pour la Tanzanie et le Kenya. Le fait que le sommet soit équipé d'une connexion haut débit pourrait-il motiver de nouveaux grimpeurs ? Une chose est sûre il est loin le temps où Edmund Hillary et Tenzing Norgay ont atteint l'Everest pour la première fois, le 29 mai 1953. À l'époque, la nouvelle était parvenue à tous seulement quatre jours plus tard, le 2 juin. Publications qui peuvent vous intéresser
ARCHIVES- Le Président de la Guinée équatoriale Teodoro Obiang Nguema Mbasogo lors du 26e sommet de l'Union africaine à Addis-Abeba, Ethiopie, 31 janvier 2016. Le président de la Guinée équatoriale a annoncé samedi avoir démis de ses fonctions le plus haut magistrat du pays après que celui-ci a avoué avoir reçu des pots-de-vin d
1er janvier 2013, 1re journée Kilimandjaro, Tanzanie 7 h, on se réunit pour le petit-déjeuner sur le bord de la piscine œufs, patates, ailes de poulet, accompagnés d’une espèce de gruau local. On a rendez-vous avec notre guide à 8 h 30, mais il n’arrive qu’à 9 h. On charge le minibus, et une douzaine de porteurs montent avec nous. On arrête en route pour s’acheter de l’eau pour la journée. Il fait un temps superbe, très ensoleillé. Il nous faut une heure pour rejoindre le départ de la Machame Trail du Kilimandjaro. Pendant que notre équipe de porteurs passe à la pesée des charges, on remplit nos gourdes d’eau et on procède à notre enregistrement dans le parc. Des Suisses, des Belges et des Français font la queue avec nous. En attendant ensuite notre guide pour partir, excités au maximum, on procède aux derniers ajustements d’équipement. On nous remet notre lunch qu’on place dans notre sac de jour et on nous donne le signal de partir, il est 11 h 15. Pole-Pole jusqu’au campement, nous dit-on. Aucun guide ne nous accompagnera pour cette section du parcours sans difficulté ni risque de se perdre en route. On part de 1800 m d’altitude et on doit se rendre à 3000 m sur un trajet de 18 km. Enfin, c’est bien réel, on entame l’ascension du Kili après plus de deux ans de préparation, vêtus de shorts et t-shirts, car la température est chaude et humide. La route est large et abrupte dès le départ. On marche à travers une forêt tropicale luxuriante. Une liane pend au passage. Hugo en profite pour faire Tarzan, mais Jane ne répond pas. Après 75 minutes de montée, une pluie diluvienne qu’on n’avait pas vu venir s’abat sur nous. On cherche un abri sous les arbres et on met nos vêtements de pluie. Trop tard, on est détrempé. Croyant que cela va se calmer, vu l’intensité de la pluie, on s’arrête pour manger notre lunch un burger froid, du poulet, une mini-banane, un biscuit et du jus. La météo ne change pas, on poursuit notre route sous la pluie. On arrive au campement à 15 h 45, soit 4 h 30 après notre départ. On signe le registre, mais notre campement n’est pas prêt, on est monté trop vite, ça devait nous en prendre 6 h. La pluie se calme et s’arrête, tout le monde essaie d’en profiter pour faire sécher son linge. On s’installe des cordes à linge de fortune. Chacun est plus imaginatif que l’autre pour faire sécher ses bottes riz, éventail, bougie, serviette, poudre pour bébé, duct tape, etc. Steve est passablement préoccupé par l’état de ses bottes. Pendant ce temps, les membres de notre équipe de sherpas et de cuisiniers arrive les uns après les autres et s’affairent à monter le campement, ils sont 23 au total 18 porteurs, 3 guides et 3 cuisiniers. Laissez-moi vous présenter JUMA, le chef guide. Ainsi que Speedy Gonzalez, nous l’avons baptisé ainsi, car il ne marche pas, il cours tout le temps. De plus, c’est un gars cool qu aide tout le monde et il a toujours une attitude positive Nous avons aussi Erin, notre second guide, le doyen du groupe, il a 63 ans et à monté le Kili plus d’une centaine de fois. Peu de temps après, on s’installe dans la tente cuisine pour une partie de dés. Le souper arrive du poisson pané. Juma vient nous expliquer la journée du lendemain, une courte ascension de 3 h 30 jusqu’à 3800 m. Quelques parties de dés et on va se coucher dans nos tentes deux places. 2 janvier 2013, 2e journée Kilimandjaro, Tanzanie On se lève à 7 h, on fait notre toilette, on remplit nos gourdes avant le petit-déjeuner de pain sec avec confiture, miel et beurre d’arachide, servi avec café et chocolat chaud. Plus tard, on nous sert aussi les œufs et la saucisse. On part vers 9 h30 avec Juma et deux guides, il ne pleut pas, la température est bonne, à 15 oC, on en profite pour admirer le paysage, mais on sent que l’orage n’est pas loin. Finalement on voit un gros nuage noir, vite, on met nos Goretex et aussitôt la pluie se met à tomber et le tonnerre gronde dans la montagne. La pluie est si forte que la route se transforme en rivière. La température change drastiquement et la pluie se transforme en grêle. On peine à avancer dans ces conditions. Quelques passages serrés sont effectués sur des parois abruptes. Étant donné l’état de la situation, on décide de prendre une pause sous un gros rocher. Nous sommes détrempés, la température avoisine les 4 oC. Des porteurs vêtus seulement de t-shirts y sont réfugiés… ça n’a pas de sens, ils vont crever de froid. Après 30 minutes de repos, la température ne semble pas vouloir changer, alors on décide de repartir malgré la grêle et le tonnerre qui gronde toujours. La route est devenue impraticable tellement qu’il y a d’eau et de grêle. À plusieurs reprise on doit enjamber des rivières. Finalement, on arrive à l’emplacement du campement 4 h 30 plus tard, il y a 5 cm de grêle à la grandeur du site et nos tentes sont affaissées sous le poids des billes de glace. On se rend signer les registres déclarant notre arrivée et on se réfugie dans une petite salle à l’arrière du refuge de bois. On est gelé et transpercé par l’humidité. Juma vient nous rejoindre, il est découragé. Notre équipe de porteurs a eu beaucoup de difficultés à se rendre. Ils nous apportent un bon thé, cela nous redonne des forces. La pluie se calme, on se rend à nos tentes autour desquelles on creuse des rigoles avec des bâtons de bois pour éviter d’être inondé pendant la nuit. Ouch! Faut pas creuser trop vite, ça donne mal à la tête à 3800 m. La pluie cesse, on étend notre linge pour le faire sécher, tout le monde a méthode et tente de faire le mieux avec ce qu’ils ont. Aussitôt que tout le linge est étendu, la pluie reprend aussitôt. Impossible de faire sécher quoi que ce soit! On fait connaissance de trois Américains, un gars et ses deux sœurs, de même qu’un Indien, un Chilien et un Suédois. Il n’y a rien à faire, sinon jouer aux dés en buvant du thé chaud, tout en essayant de faire sécher nos bottes en attendant le souper. Plus tard, c’est le débriefing de Juma, le moral de son équipe est de 50-50 nous dit-il. Bref, vraiment pas fort. Il nous explique que c’est la première fois qu’il voit de la neige/grêle couvrir le sol à cet endroit. Le moral de Steve n’est pas très fort non plus, il se demande comment il pourra atteindre le sommet avec des bottes mouillées, alors que les températures sont sous zéro. Malgré la température, le reste de l’équipe demeure positif et essaie de transmettre son état d’esprit aux autres. Demain tout ira mieux. 3 janvier 2013, 3e journée Kilimandjaro, Tanzanie On se réveille après une nuit passée sous la pluie, les rigoles ont fait le travail, mais les tentes prennent l’eau par les coutures. Au matin, il ne pleut plus, mais la température n’est pas meilleure. On remet notre linge mouillé et on repart après le petit-déjeuner. Un seul guide nous accompagne Erin. Juma doit redescendre l’autre guide qui souffre d’hypothermie. On entreprend l’ascension vers la Lava Tower. Après une heure de montée, on croise des sherpas qui se relaient pour descendre un brancard. On dirait qu’ils redescendent un cadavre, mais non, c’est un sherpa en hypothermie. Steve se préoccupe particulièrement de sa situation, il cherche son sleeping pour le réchauffer, mais nos sherpas sont parties avec nos sacs donc impossible de le trouver, après quelques conseils et validations, il le laisse descendre. Deux heures d’accalmie nous permettent de sécher un peu, mais la pluie reprend de plus belle. On est à plus de 4000 m, l’altitude se fait sentir pour certains maux de tête et étourdissement persistant. Pole-pole, on poursuit sous une pluie froide jusqu’à atteindre la Lava Tower à 4600 m dans des conditions particulièrement difficiles avec une température qui tourne autour du point de congélation. Habituellement, ce point d’arrêt est magnifique…mais pas de chance pour nous. Nous sommes dans la neige et dans les nuages. On prend notre lunch à côté d’une grosse roche à moitié à l’abri de la neige mouillante. On est détrempé, le froid nous transperce les os. On ne s’attarde pas, il nous faut bouger garder notre chaleur. Pour la suite, il nous faut redescendre à 4000 m à travers un ruisseau et une route escarpée. Arrivés au camp, il pleut encore, impossible de se faire sécher, on est détrempé, un peu fiévreux et épuisé. Pendant que certains se réunissent avec nos amis chilien et indien, Hugo et moi en profitons pour faire un repos de 15 minutes dans notre tente. J’en ai plein mon casque. J’ignore si ce sont les effets secondaires de la méfloquine que j’ai prise la veille contre la malaria qui me cause ces étourdissements, mais cette journée a été particulièrement difficile. Je me dis que j’aurais dû prendre de la Malarone comme les autres, un produit qu’on prend chaque jour au lieu d’une fois par semaine, mais qui cause moins d’effet secondaire. On se réunit ensuite pour souper, le moral des troupes est à son plus bas. C’est pourquoi, il n’a pas de photos!! Après trois jours de pluie, on se demande comment on arrivera à gérer nos vêtements pour atteindre le sommet au sec. Juma est de retour après avoir escorté l’autre guide plus bas sur la montagne. Il nous informe qu’il y a eu sept morts sur la montagne la veille, pour la plupart, des sherpas morts d’hypothermie, mais aussi un grimpeur irlandais, Ian McKeever, happé par la foudre. Juma se veut rassurant, il nous dit que maintenant que la montagne a pris ces vies, tout ira mieux. Malheureusement, on ne partage pas les mêmes convictions. Face à l’adversité, le groupe se réunit pour regarder les différentes options possibles. Notre voyage était initialement prévu durer sept jours avec l’atteinte du sommet au jour 6. Première option garder le plan initial et se donner les meilleures possibilités d’acclimatation. Deuxième option se rendre directement au camp de Barafu à 4600 m pour tenter l’ascension au jour 5 avec des vêtements secs. Finalement, après discussion avec Juma, on décide de se rendre à Barafu et de voir dans quelles conditions nous serons pour tenter l’ascension la nuit venue. Dossier conclu, on n’étire pas la soirée plus longtemps et on va se coucher en espérant que la nuit sera bonne. 4 janvier 2013, 4e journée Kilimandjaro, Tanzanie La nuit a été calme, peu de pluie, mais les tentes sont très humides. Heureusement, au matin, il ne pleut pas et on peut faire sécher nos trucs pendant une heure. La vue est magnifique, cela nous redonne de l’énergie et du positivisme au groupe. On part quand même mouillé, on range les bâtons pour escalader une paroi de 200 m. Ce sera la seule partie technique du trek. Les sherpas sont vraiment surhumain. Ils transportent des charges lourdes en plus de devoir grimper des parois abruptes. Ils ont tous notre respect! Une fois rendu en haut de la paroi, nous arrivons sur un plateau où on peut voir le campement Barranco, celui où nous sommes partis ce matin. On croise plusieurs porteurs. Nous arrivons au camp Karanga, 3930m. C’est ce camp que nous avons décidé de sauter pour nous rendre directement à Barafu. Une chance, car en arrivant, nous voilà encore dans les nuages et la pluie se mets un peu de la partie. On décide de pousser la cadence et de continuer à monter, on se dit qu’il fera peut-être plus beau au dessus des nuages. Finalement, on prend encore une bonne décision, sur la crête, il ne pleut pas et c’est là qu’on mange un peu et on se repose. On continue notre chemin et on doit traverser une coulisse de lave. Le reste du chemin jusqu’à Barafu est relativement sec. Pole-pole, guidés par Alain et Hugo, il nous faudra au total six heures pour atteindre le campement de Barafu. Il est 15 h 30, le moral des troupes est excellent, surtout quand nous avons une éclaircie qui nous permet de voir rapidement le sommet. Pour prendre la citation de l’australien que nous avions rencontré en début de voyage »When the sun comes out, it’s amazing, mate ». De plus, l’altitude ne nous a pas trop affectés durant cette longue journée de marche. Steve avait apporté un téléphone satellite, on en profite donc pour téléphoner nos femmes et nos enfants pour leur expliquer notre cheminement jusqu’ici et surtout pour leur dire qu’on fera le sommet ce soir. Aussitôt, que l’on fini nos appels, il se remet à pleuvoir légèrement et rien ne sèche en fin de journée. On prend notre souper plus tôt qu’à l’habitude vers 17 h. C’est à ce moment-là qu’on confirme qu’on décide de s’attaquer au sommet le soir même. Au menu ce soir-là, un ragoût africain à base de pommes de terre, le repas typique préascension. Rodolphe avale une pilule pour dormir, il veut être sûr de dormir avant la montée. Juma vient nous rencontrer avec trois autres gars qui feront l’ascension finale avec nous. Il nous indique comment nous habiller. On se lèvera à 23 h pour prendre un thé et partir à minuit. Tout le monde est excité, chacun retourne à sa tente pour préparer ses affaires. 18 h 30, extinction des feux, difficile de fermer l’œil en raison du mélange d’excitation et d’altitude. Dormi ou pas, Juma sonne le réveil à 23 h0. Tout le monde s’habille et sort de sa tente givrée par le froid, il fait -5 oC. On se réunit sous la tente cuisine pour le thé. On nous remet notre eau pour le trajet et, sans plus de préambules, c’est un départ. Équipés de nos lampes frontales, on entreprend la montée vers notre objectif ultime, l’Uhuru Peak. On aperçoit au loin des dizaines de lumières avançant à la file indienne à travers la montagne. Nous sommes dans les derniers groupes à partir. Le ciel est étoilé, il n’y a aucun nuage, on voit la lune se lever à l’horizoné. Cela nous rappelle qu’on en a pour la nuit à marcher, car on doit atteindre le sommet à la levée du jour. Pole-pole, nous avançons dans la nuit, mais rapidement nous devons effectuer un premier arrêt pour enlever une couche, on s’est trop habillé. Un début facile, aucun mal de tête, ni étourdissement jusqu’à 5000 m. À ce niveau, les nuages apparaissent et la température se refroidit, un deuxième arrêt est nécessaire pour se revêtir et ajouter quelques Hot Pads dans nos mitaines, il fait alors -8 oC, mais ça paraît plus froid. En voulant faire vite en s’habillant, on s’essouffle rapidement. On se rappelle d’y aller pole-pole. Les premiers symptômes du mal de l’altitude apparaissent maux de tête et légers étourdissements. La température continue de descendre, il fait -10 oC, mais avec le vent qui s’est levé et l’humidité, ce doit être -20 oC comme température ressentie. Pas un mot dans les troupes, chacun se concentre à passer un pied devant l’autre très lentement, à bien respirer, boire, manger et bouger ses extrémités pour ne pas geler. Quelques arrêts courts et efficaces pour boire et pisser. On dépasse plusieurs groupes dans la montée. Ce n’est pas qu’on va plus vite, mais on arrête moins longtemps, faut croire qu’on est plus efficaces dans les arrêts au puits. Hugo commence à avoir une démarche plus erratique, on remarque qu’il tangue légèrement de gauche à droite en montant. Plus on avance, plus il vacille. Christian, qui est juste derrière lui, le replace à quelques reprises dans le chemin. On effectue un court arrêt, Rodolphe prend la relève derrière Hugo, le manège se poursuit. On est à 5300 m, à mi-chemin du sommet, c’est à mon tour d’être derrière Hugo. Rodolphe m’informe discrètement de surveiller Hugo. Je constate rapidement son état. Aussitôt reparti, il perd pied et je dois l’attraper. Hugo a dépassé le stade des étourdissements, mais il persévère dans la montée. Quelques minutes plus tard, il perd pied à nouveau. Je le rattrape, mais trop essoufflé je demande à Rodolphe de prendre ma place. En repartant, Hugo perd pied une fois de plus, mais cette fois-ci Rodolphe le rattrape in extremis d’une chute de plusieurs mètres. Ça semble la fin pour Hugo. On prend une pause pour en discuter. Hugo tient absolument à poursuivre. Un de nos guides le décharge de son sac et je lui prête mes bâtons et nous voilà repartis. Pour Hugo, cela semble mieux aller, mais sa démarche demeure pénible. Le sommet est encore loin et il semble impensable qu’on l’atteigne aujourd’hui, mais personne ne s’imagine refaire ce qu’on a fait le lendemain, alors on continue. Les jambes lourdes, un pas à la fois, on continue tant qu’on est capable et qu’il n’y a pas de signes de danger. La démarche dHugo demeure très précaire, il demande une pause et au même moment il s’effondre et se met à vomir. Aussitôt, les guides l’entourent. Ça y est, c’est fini pour aujourd’hui se dit-on; on a qu’à retourner à Barafu et on réessayer le lendemain. On est à 5600 m au-dessus des nuages, il fait toujours nuit et on est tout près d’atteindre Stella Point. Passé ce point, on sait que la pente est moins raide et la route plus facile. Les guides se font rassurants, c’est la meilleure chose qu’il pouvait arriver à Hugo nous disent-ils, maintenant il sera plus fort que nous tous. Hugo insiste pour poursuivre, on repart pole-pole, la pente est abrupte, les bottes traînent sur le sol. Chacun entre dans sa bulle et met le focus sur ce qu’il a à faire, chacun des pas est le prochain sommet à atteindre. Tout à coup, sans s’en rendre compte on est à Stella Point, le pire est fait. On se fait l’accolade en voyant la lueur du soleil au loin, une lueur d’espoir nous disant que nous atteindrons le sommet bientôt, une chaleur incroyable envahit nos corps gelés. On est à 5700 m. Une petite photo, et on repart, la vue est magnifique. On avance tranquillement sur la crête avec, d’un côté, le cratère du volcan et de l’autre l’immense glacier. Finalement, à 6 h 20, on atteint le sommet du Kilimandjaro, Uhuru Peak, le plus haut sommet d’Afrique à 5895 m. On est parmi les premiers de la journée, seulement une quinzaine de personnes y sont déjà. Vidés, épuisés, on atteint l’objectif ultime après avoir traversé plusieurs embûches et remises en question, l’émotion est intense. Tout le monde pleure de joie et célèbre sa réussite. Steve trouve même l’énergie pour faire des entrevues avec chacun de nous. Il joue au journaliste de Radio Canada comme vous verrez dans la vidéo!! Difficile pour nous de comprendre, car Steve était le moins en forme de la gang et le voilà tout plein d’énergie au sommet, aucunement affecté par l’altitude. On prend la photo d’usage avec l’équipe, on profite du sommet, mais nos guides nous pressent de repartir, d’autres grimpeurs affluent, on ne peut pas monopoliser la place. Nous redescendons tranquillement vers Stella Point sous les rayons du soleil qui nous réchauffent. L’euphorie du sommet se dissipe et laisse place à la fatigue, on est complètement crevés. Petite pause à Stella Point, on mange un peu et on entame la descente abrupte dans le chemin de pierre et de sable volcanique qui s’écroule sous nos pieds. La descente est beaucoup plus difficile musculairement que la montée, Rodolphe et Christian abandonnent leurs sacs aux guides. Cela nous prend deux heures pour atteindre le camp de Barafu. On prend un petit jus de fruit et tout le monde retourne se coucher 90 minutes. On apprécie ensuite un spaghetti au bœuf, avant de remballer nos sacs de voyage et repartir. Le chemin de roche se transforme encore une fois en rivière à plusieurs endroits de la descente, mais la pluie est moins persistante qu’à la montée. La descente est difficile, les orteils tapent dans le fond des bottes, les genoux prennent l’impact de chaque pas, des ampoules se forment aux pieds. C’est là que lentraînement des mois précédents paie le plus. Après trois heures de marche, on arrive au camp où nous devons passer la nuit. Sans trop d’intérêt à dormir une nuit de plus dans une tente humide, Hugo et moi proposons au reste du groupe de poursuivre la descente jusqu’en bas. Après quelques discussions et en échange de payer la bière et la pizza, nous convainquons le reste du groupe de poursuivre. Avant de nous laisser partir, nos sherpas nous demandent de leur remettre leur pourboire puisqu’ils resteront dormir à ce camp. N’ayant pas cet argent en main, on leur explique qu’on leur versera le lendemain à l’hôtel. On voit dans leurs visages qu’ils ne sont pas du tout à l’aise avec cette procédure. Le mécontentement s’installe. Après plusieurs minutes de discussion, ils décident finalement de nous suivre jusqu’en bas et de recevoir leur pourboire au bureau de l’agence le lendemain. On reprend finalement la route. Hugo, Steve et moi suivons Erin au pas des sherpas, on aperçoit quelques singes au passage. Alain, accompagne Juma, Rodolphe et Christian suivant un peu plus loin derrière. 37 km plus loin et à 4000 m du sommet, nous voilà enfin arrivés au camp de base du Kilimandjaro, 16 heures après être partis du camp de Barafu pour atteindre le sommet du Kilimandjaro. À notre arrivée, on en profite pour prendre quelques Tusker avec nos guides en attendant Christian, Rodolphe et Alain. Finalement, le reste du groupe arrive une heure plus tard. Voici Christian avec nos trois guides qui nous ont fait atteindre le sommet. Le retour se fait ensuite dans un autobus avec notre équipe de porteurs, dans la joie et en chantant l’hymne du Kilimandjaro Hacuna matata! Merci à tous nos guides, porteurs et cuisiniers, sans vous nous n’aurions pas eu le même succès!
LEK2. Situé entre la chine et le Pakistan avec une altitude de 8611 m et il est le sommet le plus protubérant au monde. Ce mont est réputé pour son ascension difficile. Pour ceux qui voudront entrer dans l’histoire serait les bienvenus pour défier ce mont sauvage enfin d’attirer une fierté ou une satisfaction personnelle.
Le continent africain est plus connu pour ses grandes plaines et ses déserts. Pourtant, l’Afrique, c’est aussi, de hautes montagnes, sommets et plateaux. Quels sont les 4 sommets les plus élevés d’Afrique? La richesse du continent africain ne se limite pas seulement à son passé historique très glorieux, à la richesse de son sous-sol ou encore à sa diversité ethnique et raciale. L’Afrique fait également parler d’elle par la beauté de ses paysages attrayants dignes des cartes postales. L’immensité de ses atouts naturels fait donc également sa richesse. Au rang de ses caractéristiques naturels se trouve le relief. Un relief composé de plaines, de plateaux, de collines, de vallées et des montagnes. Ces-dernières dominent le relief du continent tant par leur grandeur et leur immensité que par leur altitude. Ces montagnes d’Afrique constituent une véritable attraction pour les touristes qui peuvent venir y randonner et parcourir une faune et une flore bien riches. C’est dans l’est de l’Afrique que nous retrouvez les Montagnes avec les plus hauts sommets. Elles sont sont aussi une fierté pour les locaux. En voici quelques-unes. Le Kilimandjaro 5892 mètres Le plus haut sommet de l’Afrique est bien sûr le Kilimandjaro. Il se trouve à la frontière entre la Tanzanie et le Kenya. En effet, son nom en swahili est kilima Ya Njaro, ce qui veut dire montagne de la splendeur. C’est un grand volcan endormi depuis plus de 5ooo ans qui se trouve sur une vallée qui traverse l’est du continent dans sa partie Nord-sud. Il est composé de trois principaux sommets. Vous avez le shira qui culmine à 3962 mètres à l’ouest, le Mawenzi qui a une altitude de 5149 mètres à l’est et le sommet du Kibo au centre. Encore appelé pic Uhuru, le Kibo atteint une hauteur de 5895 metres, et c’est lui qui fait de cette chaine de montagnes la plus grande de tout le continent. Situé au nord de la Tanzanie, il domine le cœur du parc national de ce pays. L’attraction majeure de cette montagne est la couche géante de neiges qu’on y trouve au sommet. Des touristes affluent dans la zone chaque année pour découvrir cette merveille de la nature. Vu son immense hauteur, son ascension n’est pas du tout facile. Elle est réservée aux personnes plus athlétiques et physiques en forme. Toutefois, il est possible de visiter cette montagne et de la découvrir d’en bas et profiter de la beauté du spectacle qu’elle offre. Le mont Kenya 5199 mètres Après le toit de l’Afrique le Kilimandjaro, le mont Kenya se classe deuxième des sommets les plus grands d’Afrique en terme d’altitude 5185 mètres En effet, cette montagne est composée du pic Lenana deuxième plus haut sommet de ce massif, du pic Nelion et du pic Batian. Ce-dernier est le sommet le plus élevé avec une altitude de 5199 m au-dessus du niveau de la mer. Notons que cette montagne était également un volcan dont la dernière éruption remonte à plus de 2 millions d’années. Le mont Stanley 5109 mètres Plus haute montagne du Congo et de l’Ouganda, le Mont Stanley sépare la frontière de ces deux pays. Encore appelée mont Ngaliema, cette montagne enneigée du massif de Rwenzori entre les lacs Albert et Edouard culmine à 5109 mètres. Son point culminant c’est le pic Marguerite. Le nom de cette montagne lui vient de l’explorateur britannique Henry Stanley qui fut le premier européen à l’avoir découverte. C’est un massif regroupant plusieurs pics entre autres le pic Savoie, le pic Ellena,le pic Elisabeth et le pic Phillippe. Cet endroit mérite amplement d’y faire un tour en raison de sa beauté et du patrimoine naturel qu’il représente. Il est caractérisé plutôt par un climat humide dû aux deux saisons pluvieuses de mars à mai et de septembre à octobre. Au cours de cette période, il peut neiger à partir de 4300 m d’ montagne est la troisième du continent de par son altitude. Sa première ascension a été réalisée en 1906 par l’alpiniste italien Prince Luigi Amedeo. Le Mont Meru 4565 mètres Encore appelé ol doinyo orok » ou encore black montain », le mont Meru se trouve en Tanzanie et culmine à une altitude de 4565 mètres. Situé dans la vallée du grand rift, c’est un stratovolcan en sommeil dont le dernier réveil remonte à 1910. C’est la deuxième plus haute montagne de la Tanzanie. Il est situé à 43 milles à l’ouest de Kilimandjaro et se trouve au centre du parc national d’Arusha. Son ascension n’est pas très éprouvante que celle de sa grande voisine qu’est le Kilimandjaro. Vous y trouverez à côté une forêt luxuriante avec une faune bien riche en diverses espèces d’animaux. On y rencontre de oiseaux, des léopards, des singes et pleins d’autres espèces d’animaux. Ces principales montagnes que nous avons rapidement parcourues constituent une merveille de la nature. Ils en existent d’autres sur le continent offrant des paysages étonnants, de quoi passer de bons moments de découverte, de détente.
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