Parailleurs, le prix des piments doux est compris entre 100 et 130 dinars et le piment vert atteint les 200 dinars. Quant à la carotte, son prix varie entre 60 et 70 dinars algériens. On trouve aussi les haricots verts, qui sont cédés à pas moins de 160 dinars, alors que c’est un légume d’été.
Temps de lecture estimé 33 secondes Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour d’horizon des prix du marché. Du blé dur au yaourt brassé aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya d’Alger vous seront révélées et seront analysées. Pour cette semaine du 05 septembre 2018, les prix des légumes frais sont en hausse, avec un symbolique 90 DA le kilogramme pour la pomme de terre, prix de détail. Croisons les doigts, cependant, pour une baisse significative du prix de la banane qui s’élève présentement à 400 DA le kilogramme ; rappelons que ce prix atteignait un record historique début 2017 avec 500 DA le kilogramme. C’était à l’époque le prix le plus élevé d’un fruit exotique en Afrique. Related Tagsfruits légumes algermercuriale alger fruits légumesprix des fruits légumes alger
Latomate est à 110 et la courgette à 130 DA le kg. La salade est affichée à 230 le kg et le concombre à 150 DA. Le poivron quant à lui est cédé à 180 DA le kg. Et malgré la baisse constatée des prix au niveau des marchés de gros ces derniers jours, les détaillants continuent d’appliquer ces prix exorbitants. De mémoire des ménages à Annaba, jamais une telle envolée des prix de ces produits de première nécessité n'a été enregistrée. Le taux de l'augmentation se situe entre 3% et 5% pour les légumes secs, mais aussi des pâtes alimentaires, produits de base pour les familles algériennes, notamment celles aux faibles revenus. Ces produits, et tant d'autres, sont de plus en plus inaccessibles, voire hors de leur portée, surtout avec la continuelle dévaluation du dinar, à l'origine de la dégradation du pouvoir d'achat. Face à un tel contexte social et économique, les points de vente directe restent l'unique alternative pour faire face à la hausse des prix des légumes secs. Pour ce faire, la Coopérative des céréales et légumes secs Ccls d'Annaba est venue à la rescousse des consommateurs, en plafonnant les prix des ces produits de première nécessité, disponibles dans plusieurs points de vente. Une action visant, d'une part, à casser les prix sur le marché parallèle et à soutenir le pouvoir d'achat du citoyen d'autre part. Ainsi, à travers toutes les unités de la Ccls implantées sur le territoire de la wilaya d'Annaba et El Tarf, les prix des légumes secs de production locale, ont été plafonnés à 100 DA/kg de lentilles et à 120 DA/kg de pois chiches. Selon une source relevant de la Ccls d'Annaba, la quantité de légumes secs emmagasinée dans ses entrepôts est de l'ordre de 90,1583 q de lentilles et 58,41032 q de pois chiches. Selon la même source, des points de vente ont été ouverts au niveau d'El Hadjar, dans la wilaya d'Annaba et à Aïn Assel et Dréan dans la wilaya d'El Tarf. Rappelons que la démarche, à savoir l'ouverture des points de vente de légumes secs à des prix raisonnables, fait suite à l'annonce du ministère de l'Agriculture et du Développement rural, par le biais de l'Office algérien interprofessionnel des céréales Oaic, de l'ouverture, à travers le territoire national, de points de vente de légumes secs à des prix raisonnables. Une décision intervenant, rappelons-le, à la suite de la hausse inexpliquée des prix des légumes secs, lentilles et pois chiches. Wahida BAHRI Wahida BAHRI &59663; 0000 23-09-2021 &59667; Share &59683; Facebook &59658; Twitter &59678; Google+ &59673; LinkedIn &59716; Info en continu 2138 22/09/2021 L'Algérie décide de la fermeture immédiate de son espace aérien au Maroc 2027 22/09/2021 Procès de Ghediri 7 ans de prison ferme requis 1831 22/09/2021 EHU Mustapha-Pacha bientôt un nouveau service des urgences médico-chirurgicales 1630 22/09/2021 Lamamra à CNN Nous ne soutenons aucune partie en Libye à l'exception du peuple libyen» 1430 22/09/2021 Décès d'Abdelkader Bensalah drapeau en berne pendant trois jours 1236 22/09/2021 Le Président Tebboune préside une réunion du Haut Conseil de Sécurité 1034 22/09/2021 Décès de l'ex-chef d'Etat et ancien président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah 2324 21/09/2021 Des avancées encourageantes pour les cancers de la prostate et du sein 2225 21/09/2021 L'Algérie enregistre 12 nouveaux records de température en août dernier 2121 21/09/2021 Elections locales signature de la Charte d'éthique par les partis politiques 2020 21/09/2021 Canada/élection Trudeau réélu mais toujours minoritaire 1929 21/09/2021 Birmanie Aung San Suu Ky jugée pour incitation aux troubles publics» 1828 21/09/2021 La crise des sous-marins menace la tenue d'un conseil UE/USA sur les technologies 1724 21/09/2021 JM Oran-2022 le gouvernement impulse une nouvelle dynamique aux chantiers des infrastructures sportives 1626 21/09/2021 Zones d'ombre plus de opérations engagées entre 2020 et 2021 1607 21/09/2021 Lamamra tient une série de rencontres avec ses homologues et de hauts responsables de l'Administration américaine 1527 21/09/2021 Foot / Qualif. 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Les petits ppois pourtant légume se saison a atteint 150 dinars te les artichauts se vendent à 50 dinars. Pendant ce temps là les
Rien n’échappe à la tendance de l’augmentation puisque les prix des pâtes alimentaires, fruits et légumes, féculents et légumes secs ont tous connu une hausse depuis le début de l’année 2021. Une cherté qui vient porter le coup de grâce au pouvoir d’achat du citoyen déjà affecté par une année de crise sanitaire. Par Thinhinene KhouchiLa majorité des prix des produits agricoles, les prix des légumes secs, des pâtes et autres ont enregistré une augmentation depuis le début de l’année en cours. En effet, depuis le début de la crise sanitaire à ce jour, les prix des différents produits alimentaires de large consommation n’ont pas cessé d’augmenter au niveau national. Ceux des produits alimentaires ont, en moyenne, augmenté de 5 %. Afin de constater cette hausse, un tour dans les différentes surfaces de denrées alimentaires de la capitale ainsi que les marchés s’est imposée. Au niveau du rayon pâtes, on remarque rapidement une augmentation. Le kilo de couscous, à titre d’exemple, est à 150 DA contre 110 DA il y a quelques semaines seulement. Le paquet de pâtes de 500g est affiché à 65 DA. Le prix d’un kilo de riz dépasse les 120 DA. Du côté des légumes secs, les lentilles sont à 180 DA, les haricots secs à 290 DA. Concernant les légumes au niveau des marchés, la pomme de terre est proposée à plus de 55 DA, les tomates à 80 DA, les oignons à 60 DA. Pour ce qui est des fruits, les oranges sont proposées à 160 DA, mandarines et bananes sont affichées entre 200 et 250 DA. À propos de la flambée des prix, le président de l’association El Aman» pour la protection les consommateurs, Hacène Menouar, a estimé que le déséquilibre entre l’offre et la demande, le manque de marchés de proximité et l’absence de contrôle sont les raisons de cette augmentation». On demande à ce qu’il y ait un contrôle, à commencer par l’industriel avec un sous-détail des prix, afin de comprendre si c’est une entente entre les opérateurs pour faire augmenter les prix ou si la hausse est justifiée», a ajouté le même responsable, estimant que c’est la seule solution en vue de garantir le respect des prix. En revanche, un autre responsable de la même organisation considère que le facteur responsable de cette hausse des prix serait la dévaluation du dinar», ce qui implique que tous les produits importés, notamment ceux de la matière première, ont subi une augmentation. Augmentation prochaine de tous les produits contenant du sucre…Les jus, gâteaux, yaourts, boissons gazeuses et tous les produits qui nécessitent du sucre dans leur fabrication vont connaître une hausse engendrée par l’augmentation de 10 % du prix du sucre chez les fabricants depuis dimanche dernier. Cette déclaration a été faite par le président de l’Association algérienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement Apoce, Mustapha Zebdi, qui a dénoncé ces augmentations anarchiques et injustifiées. De son côté, lors de son passage sur une chaîne privée, Hadj Tahar Boulenouar, président de l’Association nationale des commerçants et artisans, a assuré que le sucre destiné à la consommation ne connaîtra pas d’augmentation car son prix est officiellement fixé à 90 DA depuis 2011. Mais concernant les fabricants des produits qui contiennent du sucre qui ont dû acheter cette matière première au prix nouveau, effectivement, ils vont augmenter le prix de leurs produits», dira Boulenouar, précisant que si le prix de la matière première a augmenté, il est normal que le prix de la matière produite augmente systématiquement». Il citera les produits qui vont donc connaître des augmentations, notamment les jus, gâteaux secs, boissons gazeuses, miel, confiture, bonbons, chocolat, les pâtes qui contiennent du sucre aussi et autres produits contenant cette matière première. En outre, Boulenouar a tenu à souligner que les fabricants doivent informer les citoyens quant à l’augmentation de leurs produits et en cas de baisse du prix du sucre ils doivent aussi baisser le prix de leurs produits. A cette occasion, critiquant l’absence totale de communication des producteurs algériens, Boulenouar a appelé ces derniers à informer les consommateurs en cas de hausse et de fixer la date et la marge d’augmentation de leurs produits dont la matière première est le K.
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Des fruits et légumes aux céréales, en passant par les huiles de table, les prix des produits alimentaires n’ont pas connu de baisse après le mois de ramadhan. Si la flambée des céréales et des huiles s’explique par une pénurie de matières premières liée à une très forte demande au niveau mondial, celle des fruits et légumes reste incompréhensible et inexplicable. Contrairement à l’accoutumée, les prix des fruits et légumes se sont envolés après le mois de ramadhan, enregistrant, en moyenne, une augmentation de plus de 30% sur les deux dernières semaines. C’est ce qu’a constaté le Jeune Indépendant lors d’une tournée dans plusieurs marchés à Alger. Dans plusieurs régions de l’Algérois, les prix sont pratiquement identiques. Le prix de la carotte enregistre un record avec 160 DA le kilo. Le piment vert grimpe à 140 DA le kilo et le prix de la courgette oscille entre 100 et 120 DA le kilo. Le concombre est le seul légume qui s’affiche en dessous de 80 DA, devant la betterave qui est à 90 DA, l’oignon 100 DA, la laitue 120 à 140 DA, les navets 120 DA et la pomme de terre qui s’affiche entre 110 DA et 130 DA le kilo. Le prix de la tomate, ce fruit hors saison, a maintenu sa tendance haussière, oscillant entre 110 et 140 DA le kilo, et ce selon la qualité du produit. Les haricots verts sont proposés, quant à eux, entre 350 et 400 DA le kilo. Les citoyens, dont le portefeuille a beaucoup souffert lors du mois sacré et de l’Aïd-el-Fitr et qui s’attendaient à un peu de répit avec la baisse habituelle de la mercuriale, ne savent plus quoi faire. Rencontré au marché de Douéra, Moundir, enseignant dans le cycle primaire, s’est dit étonné de la hausse des prix des fruits et légumes, laquelle s’est maintenue même après la fin du mois de ramadhan. D’habitude, les prix se stabilisent vers la dernière semaine du ramadhan. Mais cette année, on constate qu’après une dizaine de jours de l’Aïd, les prix sont toujours aussi élevés, et ont même augmenté», a déploré Moundir, soulignant que les petites bourses peinent à joindre les deux bouts». De leur côté, les marchands de légumes expliquent que cette flambée est plutôt provoquée par les dernières précipitations ayant empêché les agriculteurs de récolter leurs cultures ainsi que par l’absence de main-d’œuvre à cause du long week-end suivi de l’Aïd-el-Fitr, durant lequel les travailleurs sont rentrés chez eux. Les autorités compétentes, qui ont essayé de réguler et de contrôler les marchés afin de freiner cette flambée, ont autorisé les agriculteurs à vendre leurs produits en gros ou au détail directement aux consommateurs. Elles affirment notamment que ces augmentations à répétition sont dues à la spéculation. Or, cette décision annoncée au mois de septembre 2021 n’a pas donné les résultats escomptés, à savoir soulager les citoyens, confrontés à la cherté des produits alimentaires. jeune-independant / Par Mohamed Mecelti
Description Type : Offre. Date : 06/10/2020. Adresse : Constantine, Algérie. Nous exportations des Fruits et légumes de bonnes qualité et a des prix étudiés. N’hésitez pas a nous contacter : Téléphone: +213773486292. E-mail: larbivolcano@gmail.com. Après avoir connu une hausse record pendant plus de deux mois, les prix des fruits et légumes viennent aujourd’hui de baisser de 30 %. De nombreux éléments peuvent être attribués à cette chute soudaine tels que la météo et le nombre de mandataires sur le marché; mais elle est due essentiellement à l’arrivée de quantités importantes des produits du sud du pays. Les prix devraient encore baisser mais les experts estiment que la régulation du marché nécessite en premier lieu la construction de marchés de proximité, la réduction du nombre des mandataires et le plafonnement des marges bénéficiaires. Les écarts de prix sont assez marqué ainsi, le prix de la tomate, qui était à 150 DA le kilo la semaine passée, a enregistré une baisse sensible, elle est cédée à 100 DA, le prix de la pomme de terre est de 60 et 70 DA. Celui de la carotte oscille entre 70 et 80 DA. Les oignons sont cédés à 40 DA, alors que le chou-fleur est proposé entre 25 et 30 DA. La courgette est à 140 DA. Mais que ce soit les experts, les commerçants et les acheteurs, tous s’accordent pour dire qu’il est nécessaire de renforcer et d’augmenter le nombre de contrôleurs pour réguler le marché. Source El Moudjahid Date de publication mer. 12 déc. 2018 ALGER- La hausse des prix des fruits et légumes constatée depuis quelques jours sur le marché est un fait "conjoncturel" du à plusieurs facteurs ont expliqué mercredi des mandataires des marc
C’est la bonne nouvelle de la période post-Ramadan après d'une flambée insupportable sur les marchés, les prix sont à la baisse au grand soulagement des ménages algériens dont les bourses ont été vidées. La presse locale ne manque pas de commenter cette belle surprise en apportant quelques explications. Même la star de la table algérienne, en l'occurrence la pomme de terre, est revenue à des prix abordables. Le kilogramme est cédé entre 60 et 80 dinars, soit la moitié de ce qu'elle coûtait durant le mois sacré du Ramadhan », note le quotidien l’Expression. Selon cette même source, le poulet s’écoulerait à présent à 280 dinars le kg, contre quasiment le double il y a quelques semaines. Tandis que la viande rouge reviendrait à son niveau habituel, à partir de 1100 dinars le kg », précise le journal. Le quotidien El Watan, cite pour sa part l’Association algérienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement Apoce, dont le point de vue est légèrement nuancé. Nous sommes un peu rassurés. Les indicateurs sont réconfortants au vu de la baisse quotidienne des prix de certains produits et de leur abondance, mais le marché national est perturbé et imprévisible, et il peut réserver des surprises à tout moment, c’est ce que nous avons vécu par expérience», commente son président Mustapha Zebdi. Autre satisfaction des ménages, les produits jusque-là sous tension, tel que l’huile de table, la semoule et le lait en sachet, sont à nouveau largement disponibles. Ils remplissent les étals, faisant fièrement face aux clients. Ces derniers s'étonnent de les trouver en abondance alors que les commerçants assurent que ces produits de première nécessité ne trouvent presque plus preneur », signale même l’Expression. Comment s’explique cette baisse surprise qui apporte une bouffée d'oxygène ? La chute de la demande post Ramadan est bien entendu le premier facteur. Mais cela n’est probablement pas suffisant pour dissuader les réseaux de commerçants véreux rodés aux pratiques de stockage et de régulation » spéculative de la distribution en lien avec les barons de l’économie informelle. La criminalisation des actes de spéculation a sans doute produit son effet, elle est dissuasive. La loi prévoit désormais la perpétuité pour ces délits. L’approvisionnement des ménages, un dossier tout compte fait très politique, est pris en charge au sommet de l’Etat. Il fait l’objet de directives du président Tebboune en personne. On parle de sécurité alimentaire », d’organisation des circuits de distribution et de mesures incitatives sur toute la chaîne, seule issue pour briser la spirale spéculative. La nouvelle Algérie est-elle en marche? », s’interroge l’Expression, publication très proche du pouvoir. La question mérite en effet d’être posée. Les Algériens sont abandonnés au bon vouloir de la pègre qui accumule des richesses dans le secteur commercial depuis des décennies. Reste qu’il n’est sûrement pas d’Algérie nouvelle », sans liberté d’opinion, de pensée et d’expression.
Lahausse des prix est repartie de plus belle. C’est une nouvelle opération à peine voilée au mépris du pouvoir d’achat des franges démunies de la société algérienne, loin de toucher un salaire décent, et qui sont littéralement touchées de plein fouet par la nouvelle hausse des prix des produits de première nécessité ainsi que
Accueil > ECONOMIE > Le marché des fruits et légumes en Algérie peu mûr Les prix des fruits et légumes s’annoncent chers pendant le ramadhan en Algérie ce qui confirme encore une fois la fragilité de l’agriculture algérienne. Les prix des fruits et légumes vont connaître une hausse sensible en Algérie au cours des prochains jours. Cela n’est pas uniquement dû à la spéculation qui accompagne l’arrivée du mois sacré du ramadan, mais aussi à la fin des récoltes. Il s’agit surtout des marchés qui s’approvisionnent de la Mitidja et des régions avoisinantes. Cette annonce a été faite par les représentants de l’UGCAA Union générale des commerçants et artisans algériens. Présent à ce point de presse, le gérant d’un marché de gros dira que la fin des récoltes dans la région nord de l’Algérie va indubitablement conduire à la hausse des prix des légumes. Les fruits ne sont pas concernés, en attendant que la production des Hauts-Plateaux vienne en appoint. Il a aussi été souligné que cette situation ne concerne pas la pomme de terre. Des stocks suffisants sont disponibles », a-t-on précisé. Le conférencier a voulu lever l’ambiguïté sur les prix appliqués au niveau des marchés de gros des fruits et légumes en Algérie. Les vendeurs au détail se cachent souvent derrière cet argument pour justifier les prix qu’ils pratiquent », a-t-il été souligné. A titre d’exemple, il a été mentionné qu’au marché de gros actuellement, la courgette se vend à 35 DA, la tomate entre 15 et 20 DA, le mange-tout à 45 DA, l’oignon à 15 DA. L’orateur a rappelé que les prix sont libres. Ce n’est pas de notre faute si le commerçant décide d’une marge bénéficiaire de 200 %. Il appartient au citoyen d’adopter une conduite d’achat responsable, de manière à bouder les produits dont les prix sont démesurément augmentés, rappelle-t-on. Relancé par les journalistes sur la régulation des prix, le représentant des marchands de gros rappellera que les prix des fruits et légumes en Algérie sont libres. Il n’en demeure pas moins, qu’anciennement, le marché obéissait à une règle. Il s’agit du cœfficient de multiplication selon l’éloignement. Cet instrument définit le prix du produit chez les grossistes. Pour la marge bénéficiaire des vendeurs finaux, cette dernière était fixée à 25 % pour les légumes et à 30 % pour les fruits. Les représentants des commerçants et artisans prévoient aussi la coutumière hausse des prix durant les 3 ou 4 premiers jours du mois de ramadan, avant que la situation ne revienne à la normale. Par Mourad, le Soir d’Algérie
Lesprix des fruits et légumes flambent. Profitant de la forte demande sur certains produits alimentaires et de la fermeture de nombreux commerces, des commerçant ont augmenté les prix à leur guise durant ces deux jours de fête. En dépit d’une situation sanitaire préoccupante, les mosquées ont fait le plein de fidèles pour la prière
Les prix de certains produits de consommation se maintiennent à des niveaux élevés, ce qui met à rude épreuve le pouvoir d’achat des Algériens. La filière avicole ainsi que celle des fruits et légumes sont plus touchées par l’inflation. Jusqu’où évolueront les prix ? C’est aux spécialistes de la filière et aux pouvoirs publics de dire jusqu’où iront les prix ? Jusqu’à maintenant on ne voit pas le bout du tunnel dans la filière avicole. On pensait qu’après la première hausse des prix du kilogramme de poulet qu’il y allait avoir une régulation, laquelle n’a finalement pas eu lieu », a déclaré à TSA, le président de l’Association des consommateurs Apoce, Mustapha Zebdi. Le kilogramme de poulet a augmenté de 30% en l’espace d’un mois, entre août et septembre, atteignant le prix de 500 dinars, contre 350 DA quelques jours avant la flambée. Lire aussi Inflation la hausse des prix est-elle une fatalité pour l’Algérie ? Jusqu’à hier dimanche 31 octobre, le kilo de poulet était à 510 DA. Selon les éleveurs, la hausse des prix du poulet est due à l’augmentation des prix du poussin et des aliments de volaille. Le prix du poussin a atteint 200 DA voire 230 DA, selon le président de l’Apoce. Un prix exorbitant qui n’arrange pas les éleveurs. Au point que certains ont abandonné l’activité avicole. Malgré des propositions formulées par l’Apoce, il n’y a aucune réponse », a déploré Mustapha Zebdi qui avance quelques pistes pour résorber cette crise. Nous avons applaudi le plafonnement du prix du poussin à 120 DA, nous avons néanmoins préconisé que la vente ne soit pas faite par des opérateurs privés. Ils auront toujours les moyens de rehausser le prix tout en facturant à 120 DA. C’est ce qui a d’ailleurs eu lieu», a affirmé M. Zebdi. L’Apoce a également demandé de recourir en urgence » à l’importation d’œufs fécondés, chose qui n’a pas eu lieu jusqu’à ce jour», a poursuivi Zebdi qui déplore que certains opérateurs privés aient connu des contraintes dans cette démarche ». On ne comprend plus ce qui se passe » Jusqu’à ce jour ces contraintes n’ont pas encore été levées », a ajouté le président de l’Apoce. Pour espérer revenir à une situation normale, nous sommes malheureusement dans l’obligation d’importer des poussins et de veiller à avoir un nombre suffisant de poules mères », a exhorté M. Zebdi. Les acteurs de la filière avicole et particulièrement le comité interprofessionnel sont censés fournir un état des lieux juste et clair avec des solutions aux pouvoirs publics. Ils ont un rôle important à jouer. Le fait qu’ils ne réagissent pas en temps opportun ne fera que compliquer la situation », estime Mustapha Zebdi. La filière fruits et légumes est également sous les feux des critiques de l’Apoce. Les prix n’ont pas baissé malgré les dernières annonces des pouvoirs publics relatives à des sanctions exemplaires 30 années de prison à l’encontre des spéculateurs. En toute sincérité en tant qu’association nous avons le ras le bol de toujours suivre ce dossier et de faire des propositions. Il ne faut pas laisser les choses empirer jusqu’à ce que la situation échappe au contrôle », s’offusque Zebdi. Le cas de la pomme de terre suscite l’incompréhension du président de l’Apoce. Malgré les déstockages il y a quand même une hausse des prix. Cela ne répond à aucune logique économique», s’insurge notre interlocuteur. Le gouvernement a annoncé un prix réglementé de 50 DA le kilo de pomme de terre saisie. Sur les marchés, le kilo de ce tubercule est cédé à 120 DA, voire plus. On ne comprend plus ce qui se passe. Il n’y a aucun état des lieux précis sur la situation. Ou bien les informations qui sont fournies sont fausses où il y a d’autres paramètres imperceptibles pour nous et contribuant à l’instabilité du marché », conclut Zebdi. Les derniers articles
SCÉNARIOSDE COMMERCE INTERNATIONAL ET DE PRIX 6.1 Oignon 6.2 Pomme de terre 6.3 Tomate 6.4 Ail 6.5 Chou-fleur 6.6 Des haricots 6.7 Aubergine 6.8 Citron 6.9 Pommes 6.10 banane 6.11 Raisins 6.12 fraise 6.13 Pastèque 6.14 Rendez-vous 6.15 Olives 7. ANALYSE RÉGIONALE 7.1 Analyse PILON 7.2 Analyse de la chaîne de valeur 7.3 Politiques
Algérie – Les Algériens seront agréablement surpris en allant faire leurs courses cette semaine. En effet, les prix des fruits et des légumes ont accusé une baisse en Algérie, et tous les détails sont dans la suite de cette édition du 16 mai le début de la pandémie du coronavirus, le pouvoir d’achat des citoyens a dégringolé. Les produits de grande consommation, qui étaient autrefois accessibles, sont devenus inabordables. Mais à la surprise générale, les prix des fruits et légumes viennent de connaître une baisse conséquente en Algérie. Les viandes aussi sont concernées par ce recul des tarifs, que nous essayerons d’expliquer dans la suite de cet faut savoir que cette baisse des prix est survenue du jour au lendemain. La plupart des fruits et légumes sont concernés. À l’instar de la pomme de terre, qui est passée de 120 à 60 dinars le kilogramme. Les tomates sont actuellement affichées entre 80 et 100 DA et les poivrons à 80 DA. Tandis que les courgettes et les carottes sont entre 60 et 70 DA le Kg. Il s’agit de ce que rapporte le quotidien arabophone ailleurs,les prix des fruits et légumes qui ne sont pas de saison restent élevés. Mais ont tout de même baissé par rapport aux derniers jours. Les abricots et les pastèques sont cependant proposés à des prix raisonnables. Pour expliquer ce phénomène, qui avantage les citoyens algériens, il faut noter que le mois de mai est la période de récolte de nombreux produits agricoles. Algérie fruits et légumes, volailles et poissons en baisseAinsi, l’offre en produits frais est abondante en cette période, ce qui contribue à faire baisser les prix sur les marchés de gros. Où l’offre se retrouve parfois à excéder la demande. La hausse des prix des mois précédents n’était donc pas le fait des spéculateurs. Mais plutôt du jeu de l’offre et de la demande. L’offre devrait continuer à abonder et cette baisse devrait persister jusqu’au mois d’ le même sillage, les prix des viandes blanches ont également chuté, passant de 430 à 280 DA, voire 230 DA le Kg dans certaines régions. Faisant craindre aux producteurs de grosses pertes en cas de persistance de cette baisse. Les produits de la mer ont suivi cet élan, et les sardines qui avaient atteint le record de da le Kg sont désormais affichées entre 300 et 400 Da. La viande rouge fait exception, et reste le seul produit à avoir augmenté après l’Aïd El Fitr. pR3tSy.
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